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Tribune libre

Stop aux violences à l’Hôpital

Stop aux violences à l’Hôpital

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Deuil de tristesse et révolte du corps médical dans les hôpitaux de France, après le meurtre de Carène, infirmière à l’hôpital de Reims. Mon cœur blessé par tant d’horreur prie pour ses deux enfants, sa famille et ses proches ainsi que pour ses collègues traumatisés par une violence indigne envers ceux dont la vocation est d’aimer ceux qui souffrent, les malades, les accidentés, en leur offrant soins et accompagnement.

Cette violence, chaque jour, envers le personnel médical ou administratif des lieux de soins, révolte toute personne sensée. Refusons ce quotidien dans l’insécurité imposée par l’inaction de la république qui prend acte et constate, sans agir. Les paroles des gestionnaires gouvernementaux, à grand renfort de communication, décrivent les horreurs commises par des mots : « incivilité », « ensauvagement », « décivilisation » … Nommer des évènements aussi tristes et meurtriers soient-ils ne suffit pas, il faut agir… « Renforçons les lois » disent-ils… et après ? … Celles-ci ne seront pas appliquées, la justice ne suivra pas… Par manque de moyen ou alors pour céder aux minorités fanatiques des haineux de la France et des Français. Ceux qui victimisent les bourreaux et culpabilisent les victimes.

Pour que l’hôpital redevienne un sanctuaire de la non-violence, la solution passe par trois principaux axes : l’éducation, le renforcement de l’hôpital et la sanction.

Dans les classes des écoles primaires, apprenons-leur en plus des fondamentaux de transmission de la connaissance (lire, écrire et compter) nos valeurs judéo-chrétiennes de respect de l’autre, de l’amour de son prochain, de compassion, pardon et rédemption. L’agressivité, le harcèlement et l’indifférence égoïste n’ont pas leur place en France.

Le renforcement de l’hôpital, permettrait des temps d’attentes réduits. Il faut impérativement redonner la gestion des établissements aux médecins qui seuls, par leur vocation altruiste, connaissent la réalité du terrain. Ils se révèlent personnes de l’amour, par leurs expériences et leurs confrontations à la réalité quotidienne vécue dans les services hospitaliers. Ces héros qui sauvent ne possèdent pas cette indifférence à toute humanité que l’on demande aux gestionnaires financiers insensibles, par leur fonction, à tout altruisme. La rentabilité en matière de santé publique est un non-sens démoniaque. La sécurité dans les établissements mérite d’être assurée par nos gardiens de la paix, un poste de police devrait prendre place dans chaque établissement civil, et mettons des gendarmes dans les hôpitaux militaires…

Les menaces de mort, insultes, intimidations, crachats, coups de poings, ou gifles nécessitent un traitement pénal en comparution immédiate. Toute sanction mérite par souci de crédibilité d’être réelle et effective. Une condamnation privative de liberté même pour quelques jours doit s’effectuer en milieu fermé. Un flagrant délit constaté par une autorité de police assermentée ne peut bénéficier de la présomption d’innocence. Dans ce cas particulier uniquement, un appel du jugement ne peut être suspensif.

Le Pacte de bon sens que nous proposons aux Français préconise 500 territoires équitablement répartis en France bénéficiant d’un hôpital minimum par territoire afin d’assurer une sécurité sanitaire maximale pour nos compatriotes. Réapproprions-nous les espaces de soins hospitaliers désertés, avec un point d’honneur particulier à privilégier les maternités, les soins palliatifs, et l’accueil des urgences… Si des accords ou traités extérieurs veulent nous empêcher d’agir, dénonçons uniquement les articles ou clauses de ces textes. La vie, la sécurité, le bien-être des Français ne se négocie pas !

Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme

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1 commentaire

  1. Le corps médical est truffé de “gauchistes femelles” qui ne font aucunes différences entre un bébé chiot et un migrant psychopathe. Elles font de l’égalitarisme infantilisant sans comprendre que la vie réelle n’est pas comme leur idéologie. Il faut qu’elles ouvrent les yeux au lieu de pleurnicher mais en sont-elles capables ?
    Dieu se rit des femmes qui déplorent les effets dont elles chérissent les causes. Et je rappelle au passage, que le corps médical a une très grosse responsabilité dans l’arnaque du vaccin covid.

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