Avec un budget à l’euro près, les trois quarts des crédits de la mission Santé sont dévolus à l’aide médicale de l’Etat de droit commun (AME), soit 1,1 milliard d’euros.
L’AME est un dispositif permettant aux étrangers en situation irrégulière, qui résident en France depuis plus de trois mois, de bénéficier d’un accès aux soins.
Collapsus
Quand la faillite de l’État surviendra, nous devrons aller chercher un à un les coupables dans leur retraite dorée pour le Nuremberg de la dépense publique. Il n’est pas concevable que ces gouvernants aussi incapables que nuisibles ne soient pas appelés un jour ou l’autre en responsabilité de leurs actes coupables qui auront anéanti la France.
zongadar
Sauf que : de 1- la faillite de l’Etat est déjà là et de 2- ce ne sont pas des incapables vu que c’est le but qui leur a été fixé et qu’ils ont atteint. Rappelez-vous ‘vous n’aurez plus rien et vous serez heureux’. Pour illustrer, on peut penser que quand macron annonce qu’il n’y aura pas de ticket de rationnement, c’est qu’ils sont déjà imprimés….tout comme les affiches sur le ‘cobid’ dont la date d’impression mentionnée était janvier 2019.
cadoudal
quand on fait la Révolution raciale , quand on organise le Grand Remplacement qui évacuera les Gaulois,
on ne compte pas; c’est “quoiqu’il en coûte” .
priorité républicaine et citoyenne.
d’ autant que ce sont les Gaulois qui financent leur remplacement.
christianlair
Ce gouvernement n’est là que pour finir d’anéantir ce qu’il reste de notre belle France !…. Merci à tous les décérébrés qui l’ont porté au pouvoir !…..
Meltoisan
Malheureusement, le successeur pressenti est déjà en marche et se profile à l’Horizon funèbre…
Il devra pour cela quitter son Havre de paix et se confronter de nouveau à des Gilets jaunes …
philippe paternot
ben il faut bien s’occuper des pauvres …. s’ils sont étrangers.
48 migrants sri lankais ont débarqué à la Réunion la semaine dernière, ils ont été logés en hotel puis relachés dans les rues, après avoir manifesté devant la préfecture, tout ce beau monde a été pris en charge; ils exigeaient un logement décent, les locaux eux n’ont qu’à attendre des années avant d’avoir un logement social