De Jean-Michel Beaussant dans l'Homme Nouveau, revient sur le document de l'enseignement catholique français sur l'annonce explicite de l'Évangile :
"Une école catholique déficiente dans sa structure, quelle que soit la vertu morale de certains de ses membres, voire de ses chefs, risquera de manquer son but tout aussi sûrement qu’une mauvaise arme tenue par un bon chasseur. C’est pourquoi, au-delà des belles déclarations d’intention, sans renoncer à sauver les meubles et à améliorer progressivement les choses, il faudrait, d’une part, songer à redéfinir un nouveau type de contrat entre les écoles, l’Église et l’État (selon la proposition isolée de Mgr Cattenoz). D’autre part, soutenir et promouvoir les écoles vraiment libres (hors contrat) d’inspiration catholique.
roland amard
je me permets de vous signaler la parution d’une excellente petite brochure, “Ou va la politique de l’Eglise catholique?” à la Fondation pour l’innovation politique.
http://www.fondapol.org/
JCM
“Redéfinir un nouveau type de contrat entre les écoles, l’Église et l’État”
Pour moi c’est évident, avec en priorité :
1) abolition des quotas privé/public
2) fin de l’obligation d’accueillir tout le monde sans distinction et droit de recruter élèves et enseignants sur des critères religieux
3) financement identique avec le chèque éducation
CB
Tant que les familles n’auront pas une garantie de financement des coûts scolaires (similaire à l’actuelle “sécurité sociale” pour les coûts médicaux) seuls ceux qui disposent d’une certaine aisance financière pourront s’offrir le luxe de choisir une école pour laquelle ils devront payer deux fois
-une première fois par leurs impôts pour l’instruction offerte grâcieusement par l’Etat à destination de tous les enfants séjournant à un titre ou un autre sur le sol français
-une deuxième fois pour leurs propres enfants pour lesquels ils devront débourser des frais de scolarité, sans même pouvoir bénéficier de la réduction d’impôts actuellement assurée aux familles qui tentent par des “petits cours” de compenser la médiocrité de l’instruction dispensée par bien des institutions scolaires
orthodharma
L agriculture, une des mamelles de la FRANCE et bien sûr des tous le spays VIVANTS.
Sans agriculture c est la mort, voire la mutation, sucer des cailloux pour vivre ?
Deux choses :
France Nov. 2009, ces jours, on ne peut pratiquement pas se former en agriculture, si on a plus de 50 balais … On ne peut meme pas s’nscrire a pole emploi pour avoir le droit à un possible stage ou formation….Agricole.
Me demandez pas pourquoi ?
Beneficiare de l obligation d emploi j ai desirè suivre une formation agricole et donc suis obligé d epasser par pole emploi et ou par cap emploi, avant de pouvoir acceder à une possible constitution de dossier pour obtenir une subvention de l AGEFIPH…. Merci pour le parcours du combattant ! On est molestè si on veut s inscrire en demandeur d emploi surtout si on est handicapé et vieux ! Je ne plaisante pas ! Mais cela se passe dans le sud pres demarseille, alors c est vrai Il y a des gens qui exagerent, moi pas.
Je fus molestè parce que je voulais m inscrire comme demandeur d emploi ! Nov 2009 France terre de l i b e r t e…
Afrique centrale il y a 20 ans, un petit pays accede pour lapremiere fois a l auto suffisance alimentaire…. LEs Ministres et les techniciens on bien fait les choses, une directive augmenter de 5% par an la production…. Resultat Pays ENVAHI par population frontalieres….
Voila le constat, ce qui pourraient ne peuvent, ce qui peuvent créent le désordre sans le vouloir.
Encore un mot annèe 2009 une excellente annèe pour la production de BLE, chute des cours 100€ la tonne, on laisse pourrir le ble dans les champs. Raquefour 1,11€ le Kilo de farine.
D’ici à ce qu il y ait pénurie de farine en periode de recolte extraordinaire ….
Mais faut pas s inquieter ….
Vincent
Ce Monsieur Beaussant se fait le porte-drapeau (l’idiot utile) de ceux qui veulent un nouveau contrat avec l’Etat et qui de facto vont permettre aux écoles coraniques d’être financées elles aussi par l’argent de nos impôts.
Les futurs martyrs catholiques des islamistes français (formés dans des écoles financées grâce à nos impôts) vous remercient d’avance Monsieur Beaussant!
C’est sous un tel prétexte de changement, de refus du statu quo, de refus de l’immobilisme que Nicolas Sarkozy (qui va faire passer pleins de lois mortifères) a été élu par nombre de catholiques, dont Monsieur Beaussant, j’imagine.
JCM
De quoi avez vous peur Vincent ?
Je ne crois pas que ce soit la laïcité pure et dure à la française et anti-cléricale qui s’opposera à la montée des islamistes en France.
D’abord l’article évoque un contrat tri parties entre l’Etat les écoles et l’Eglise et non une liberté totale. Du coté de l’Islam il n’y a pas encore l’équivalent de l’Eglise pour passer le contrat.
Puis quand les français auront un choix libre pour leurs enfants, vous en connaissez beaucoup qui choisirons une école coranique ?
Militons pour la liberté et luttons sur notre terrain : celui de la conversion des cœurs et des esprits.
(et ma position n’a rien à voir avec un soutien à Sarkozy pour lequel je n’ai jamais voté, et ne suis pas près de le faire !)
Vincent
@ JCM,
Peur de rien et une grande sérénité: mes remerciements à ce monsieur Beaussant étaient sincères. “Morituri te salutante” aurais-je pu ajouter.
“Du coté de l’Islam il n’y a pas encore l’équivalent de l’Eglise pour passer le contrat.”
Ah si, si, il y a l’équivalent de l’Eglise, le Conseil Français du Culte Musulman créé par Nicolas Sarkozy.
“Puis quand les français auront un choix libre pour leurs enfants, vous en connaissez beaucoup qui choisirons une école coranique ?”
Dans certains quartiers, où des jeunes se convertissent à l’Islam/apostasient la foi catholique pour avoir la paix, pour vivre en paix, il y aura sûrement pas mal d’inscriptions, oui.
Et connaissez-vous beaucoup de gens qui choisiront une école catholique? ;-) Je ne vois pas la spécificité des écoles catholiques: la même mixité sociale, des enseignants pas catholiques, etc. Il y a juste un discours marketing disant que l’enfant et mis au centre des préoccupations de l’établissement.