Petit rappel : Unité de temps : l’année 2020. Unité de lieu : l’Assemblée nationale. Unité de situation : les deux heures hebdomadaires de questions/réponses entre les députés et le gouvernement. Unité de sujet : la crise sanitaire et sa gestion. L’objectif de cette série d’articles est, en revenant sur une année d’échanges, retirer quelques enseignements (avec l’acquis d’un certain recul) sur la façon dont le gouvernement s’est comporté dans la gestion d’une crise sanitaire « moderne ».
Essayons de tirer quelques conclusions de l’étude des échanges entre gouvernement et députés à la faveur des séances de questions/réponses.
- Quand l’épidémie est arrivée, l’hôpital public était déjà sévèrement en crise.
- La décision de confinement a été prise sans aucune discussion avec les parlementaires. Et d’ailleurs, élargissons, sans aucune référence juridique (le projet de loi d’urgence sanitaire est venu après en discussion pour entériner). Comme quoi, quand on veut s’affranchir de l’état dit de droit, on peut. Cette décision de confinement a bénéficié sinon d’une union nationale au moins d’un assentiment généralisé.
- Toute la gestion de la crise sanitaire s’est caractérisée par une fascination pour la technologie (qui s’épanouit aujourd’hui dans le monde des vaccins), confinant parfois (souvent ?) à de la gesticulation. Curieusement, ceci a amené les autorités politiques à concentrer la pression sur le processus de réanimation, en évacuant tant le niveau de la médecine générale que la collation de bonnes pratiques en terme de traitements ; réanimation qui était justement le point de faiblesse de l’ensemble de la chaîne de soins. Curieux choix.
- La gestion des pénuries successives a été soigneusement habillée du terme de stratégie ou de celui de doctrine.
- Les acteurs gouvernementaux qui ont fait allégeance totale à des autorités sanitaires variées et parfois douteuses, ont manifesté à l’égard de celles-ci un manque total d’exigence : aucune étude française centralisée mise à part la fameuse étude DIscovery lancée en grande pompe pour mieux sombrer dans le ridicule ; focalisation suspecte sur le Remdesivir ; et finalement, première étude épidémiologique annoncée le 17 décembre (depuis le temps que Santé Publique France nous bassinait avec ses clusters « en voie d’investigation » sans aucun résultat) et annonce faite par M.Véran le10 décembre des premiers dépistages massifs devant démarrer le 14 décembre au Havre et dans les Ardennes, alors même qu’on pensait certainement naïvement que 1,5 millions de tests par semaine, c’était déjà du dépistage massif…
- L’idéologie du confinement et l’anthropologie du repli et de la contraction règnent en maître depuis le mois de mars 2020. M.Véran explique avec quelque satisfaction, le 31 mars :
« Une étude due à l’Imperial College de Londres, parue hier soir assez tard, s’interroge sur l’effet du confinement et sur son efficacité. Nous le croyons, nous, efficace : la France a pris, très tôt, des mesures de confinement généralisé, et nous avons plusieurs fois dit qu’il s’agissait là du seul moyen de freiner la diffusion d’un virus, faute de vaccin. Cette étude anglaise – dont je n’ai pas de raison de douter, même si je ne la prends pas pour argent comptant – montre que l’effet du confinement est majeur : en douze jours, elle estime que ce sont 2 500 vies qui ont été épargnées dans notre pays. Toutes les huit minutes, nous sauvons une vie en restant chez nous ; et ce nombre augmentera de jour en jour, au fur et à mesure que le confinement portera ses fruits».
Douze jours, 2500 vies, soit un peu plus de 200 vies par jour de confinement. Rappelons qu’il meurt quotidiennement en France entre 1600 et 1700 personnes et qu’elles sont en général âgées, comme les victimes de l’épidémie ce qui semble parfaitement légitime.
- Cette idéologie du confinement n’a pas été contestée de façon structurée par les oppositions parlementaires. Au contraire, il faut reconnaître que les gouvernements ont manifesté une certaine endurance pour faire respecter la date du 11 mai pour le premier déconfinement, et ne pas reconfiner totalement les établissements scolaires lors du deuxième confinement. Comme quoi, la pente vers la servitude est également partagée.
- Cette anthropologie du repli s’est accompagnée d’une appétence dévorante pour le contrôle et la punition. Appétence parfaitement illustrée par la réponse de Mme Christine Dubos, secrétaire d’Etat à M.Marc Le Fur, le 5 mai. M.Le Fur avait expliqué
«Je me fais le porte-parole des habitants de notre littoral et des élus, toutes sensibilités confondues, qui ne comprennent pas que nos plages soient destinées à rester inaccessibles après le 11 mai. Le Président de la République nous a promis un déconfinement ; quand celui-ci adviendra-t-il ? La plupart de nos départements littoraux, dont les cinq bretons, sont classés verts. L’ouverture de nos plages est donc possible. Elle est souhaitée par les professionnels du tourisme, qui ne peuvent exercer aucune activité en ce moment mais y verraient un signe favorable compte tenu des difficultés qu’ils auront traversées. Ce serait un premier message d’espoir. Il faut en finir avec cet interdit de principe. En quoi les plages seraient-elles plus dangereuses que les transports en commun ou les grandes surfaces ? Elles sont accessibles en Grande-Bretagne et en Italie. Bien évidemment, leur ouverture serait encadrée par une réglementation très stricte afin que la distanciation entre les personnes et entre les groupes y soit respectée. Les maires, chargés du pouvoir de police, pourraient y veiller. Mais nos plages et nos grèves sont vastes. »
Réponse
« Le Premier ministre l’a indiqué ici même la semaine dernière : par mesure de précaution, les plages resteront inaccessibles au public au moins jusqu’au 1er juin…. Nous le savons d’expérience : dès que l’accès aux plages sera rouvert, on souhaitera s’y rendre en nombre ; or il s’agit d’espaces difficiles à surveiller et à contrôler. De plus, la période qui s’ouvre compte plusieurs jours fériés qui favoriseraient un afflux sur les plages si l’accès en était autorisé ».
Enfin, tout ceci a été nimbé non seulement d’ignorance, bien compréhensible au départ (moins quand Simplet énonce encore le 15 décembre « Il est vrai que nous découvrons cette épidémie ») mais aussi de mensonges, gros et petits, volontaires ou involontaires ; témoignant alors d’une sorte de déraison, comme quand M.Castex énonce le 15 septembre : « Je voudrais rappeler la cohérence de la politique du Gouvernement. Elle est simple et elle peut se résumer ainsi : vivre avec le virus », pour mieux partir un mois plus tard dans un deuxième confinement, même partiel et ne pas hésiter à évoquer la possibilité d’épisodes multiples de confinements ultérieurs.
Ils sont bien loin les vœux légèrement grandiloquents de M.Macron adressés aux Français le 31 décembre 2019, même si, bien évidemment, tout n’est pas prévisible :
« Les inquiétudes ne sauraient pousser à l’inaction. Car il y a trop à faire…. Alors à l’aube de cette nouvelle décennie, je veux vous assurer que je ne cèderai rien au pessimisme, ou à l’immobilisme…. Nous n’avons pas à nous adapter au cours des choses – ce n’est pas la France !... Je veux que nous continuions à favoriser l’initiative, à simplifier, à permettre davantage d’innovations, à permettre de travailler mieux, de partager la richesse créée dans toutes les entreprises, à aider nos agriculteurs et nos pêcheurs à vivre dignement de leur travail comme à tous les entrepreneurs et salariés ».
F. JACQUEL
Je me pose une question très complotiste : lors de son “élection” (plutôt son hold-up électoral), JUPITER savait-il déjà que le “monde d’après” se mettrait en place grâce au montage et à la mise en place de cette “pandémie”, soit disant sanitaire, plus réellement anxiogène, et destinée à préparer le “big reset” théorisé par Klaus Schwab, approuvé par Attali (le marionnettiste de JUPITER), Soros, de Castries (Président du Bilderberg et d’Axa), … ?
La gestion de la crise laisse penser que l’alternance de la carotte et du bâton, de la douche écossaise et de la dérive totalitaire, telle qi’elle est conduite tout particulièrement en France peuvent conforter cette hypothèse.
Les statistiques de Santé Publique France, manifestement falsifiées pour étayer les décisions du régime (pratiquement aucune statistique récente n’est disponible pour les autres pathologies sur Géodes) suivent les injonctions gouvernementales.
Enfin, la contamination jupitériennne était-elle réelle ou une mise en scène (guérison en moins d’une semaine sans que l’on connaisse le traitement utilisé, contrairement au Président Trump) pour soigner son image et lui éviter de prétendre se faire vacciner ?
Toutes ces vedettes qui se font vacciner sous les projecteurs et les caméras reçoivent-elles réellement des produits suspects ou du sérum physiologique ? Rien ne prouve rien. Et aucun journaliste ne posera la question à 1 M€.
Chantal de Thoury
Depuis des siècles les hommes savent empiriquement que vivre au grand air est facteur de bonne santé.
Interdire les littorals ( surtout durant les saisons non torrides ) est une imbécilité totale. Les brises marines chargees de micro-gouttelettes de chlorure de sodium (sel) et d’iode sont anti-virales et regulatrices bactériennes.
De même dans les campagnes boisées (haies) et espaces forestiers, de jour, très oxygénés où la végétation exhale de l’oxygene , la nuit etant moins propice car la végétation exhale alors du gaz carbonique (di-oxyde de carbone) sans sans gêne cependant pour la faune (humain compris en raison de l’endormissement d’un grand nombre dont la circulation du sang ralentit en période en période de sommeil
Pour les animaux nocturnes il reste toujours assez d’oxygene dans l’air pour être actifs.
L’Humanite citadine est totalement déconnectée de ces principes multiseculaires, et est la proie la plus facile pour les dictateurs car elle est plus fragile aux pressions générées par les peurs justifiees ou non des exploiteurs de l’homme par l’homme.
Les déviances accumulées de tout genres sont bien plus contagieuses dans les villes que dans les campagnes même si dans ces dernières elles ne sont pas absentes en raison de la nature profonde de l’Homme entachée par les conséquences sur chacun du péché originel.
Plus que tous les vaccins du Monde, vivre sainement est le meilleur médicament pour résister à des attaques invasives de virus et protéger et nourrir les bactéries qui sont en symbiose avec nous et entre elles dans notre corps est primordial car grâce a leur antagonisme avec les virus qui sont leurs ennemis mortels elles provoquent des montées de fievre salvatrices qui les tuent.En ce cas il faut simplement protéger le cerveau pour empêcher sa montee en température au-dessus de 40°, par de la glace et ne pas faire baisser la fievre en dessous de 39°, ne pas prendre d’anti-inflamatoires car ils font trop baisser la fievre et utiliser la glace ou des bains tièdes au bord du froid pour maintenir le corps en dessous de 40`.
Ces comportements ont fait la preuve de leur efficacite durant les siecles passes, encore fallait t’il les connaître.
Les plantes febrifuges étant quant a elles systematiquement données pour rehydrater et détoxiquer l’organisme en l’obligeant a rentrer fortement en sudation détoxyfiante.
L’augmentation de la prise d’aliments a effet anti-viral et régulateur de bacteries (ex : Ail, melanges d’epices anti-oxydantes agissant en catalyseurs mutuelement entre elles) et tisanes spécifiques selon les organes atteints ont une action souveraine pour aider les corps a combattre les invasions virales et controler le nombe de nos copines bacteries. De nombreuses plantes partout dans le Monde ont des actions similaires sur les effets nocifs des maladies, inutile d’aller chercher a l’autre bout du monde des plantes que nous avons chez nous a effets identiques et de nous envoyer les plantes exotiques pour engraisser ceux qui pratiquent ce genre d’import export juteux uniquement a leur profit. Le snobisme de l’exotisme est dévastateur pour les portes-monnaies et augmentent les factures énergétiques.
Mais il faut aussi que tous comprennent que c’est Dieu qui est maître de la Vie et de la mort et ainsi que le disait avec sagesse Ste Hildegarde les plantes et animaux guérissent chacun de nous en fonction de nos maux? sauf…..si ce n’est pas la Volonté de Dieu.
La Confiance en Dieu dans ces décisions a Notre endroit nous rend donc parfaitement sereins quelques soient nos souffrances qu’il permet pour nous rappeler a l’ordre dans nos comportements mauvais ou pour nous faire grandir en Sainteté en union avec la Passion du Christ pour la réparation de nos péchés et pour gagner des graces pour autrui, si nous lui sommes fideles.
Dans Sa misericorde il nous laisse Sa merveilleuse Création inferieure pour nous aider malgre tout.
Les gouvernements félons comme ceux que nous avons en ce moment ne pourront agir plus dans la direction du Mal qu’autant que Dieu le permettra . Prions pour eux pour que Dieu leur ouvre les yeux et les convertissent ou sils refusent de se convertir demandons alors a Dieu de leur fermer les yeux definitement afin qu’ils ne fassent plus le Mal.