"24 Wochen" ("24 Semaines"), long métrage allemand, raconte l'histoire d'Astrid, comédienne, qui est enceinte de quatre mois quand elle apprend que son enfant à naître est atteint de trisomie 21. Astrid et son mari Markus doivent alors décider d'interrompre ou non cette grossesse. Ils décident de le garder. Un nouvel examen au sixième mois révèle que l'enfant souffre également d'une grave malformation, plongeant Astrid et Markus dans un abyme de questions morales. Le film, qui décrit toutes les étapes du cheminement d'Astrid et Markus, a suscité une vive émotion lors de la projection à la presse.
La réalisatrice, qui a elle-même avorté avant 3 mois, a rencontré des couples ayant été confrontés à ce type de situation pour faire ce film, a dit s'être "rendue compte qu'il était très difficile de trouver des gens prêts à parler de cela ouvertement", alors même qu'en Allemagne, "plus de 90% des femmes choisissent une interruption médicale de grossesse si l'enfant a un grave problème ou une malformation".
Dans son film, "ni pour ni contre l'avortement" dit-elle, la réalisatrice explique avoir voulu "faire un collage entre la fiction et la réalité".
Pitch
“en Allemagne, plus de 90% des femmes choisissent une interruption médicale de grossesse si l’enfant a un grave problème ou une malformation”
Les Teutons n’ont pas retenu les leçons du caporal moustachu on dirait – ou bien ils les ont trop bien apprises, c’est selon :-/
Irishman
@ Pitch :
Je me pose la même question… Du temps d’Adolf et ses brutes nazies, on éliminait les handicapés au nom de la “pureté de la race” (quelle foutaise!), et aujourd’hui, c’est au nom de la liberté et du “droit à”…
La nature humaine ne change pas, seuls les mots changent et font croire à un progrès.