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Culture de mort : Avortement

243 600 c’est encore pas assez pour ces avortueurs ?

243 600 c’est encore pas assez pour ces avortueurs ?

La commission des affaires sociales du Sénat a engagé une mission d’information sur l’accès à l’avortement, afin de dresser un état des lieux objectif des difficultés rencontrées, sur le territoire, par les femmes souhaitant y recourir.

La mission devait rendre ses conclusions à l’été 2024. Le rapport a été présenté le 16 octobre et a été adopté à l’unanimité (photo).

Sur ce rapport de 3 sénateurs, Alain Milon, Brigitte Devésa et Cathy Apourceau-Poly, la commission des affaires sociales a mesuré les difficultés rencontrées par les femmes pour accéder à un avortement de proximité et choisir librement la méthode et le secteur auxquels elles souhaitent recourir.

 

243 600 avortements en 2023, ce n’est sans doute pas suffisant. Il y aurait même encore des mère qui osent mettre au monde un enfant en France en 2024…

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3 commentaires

  1. En moyenne plus de 6 par département et par jour. Dans quels cours apprend-on aux jeunes que tout rapport (même protégé) est potentiellement fécond? Et que si tu ne veux pas d’enfant, plutôt que de te déglinguer l’existence (séquelles physiques ou/et psychologiques), il serait sans doute prudent de tenir compte de la réalité… Mais ce serait trop simple!

    • Si l’on veut tenir une sinistre comptabilité de ce génocide, cela donne ceci :
      243 600 avortements / 365 jours = 667 avortements par jour
      667 / 24 h = 27 avortements par heure ; soit 1 avortement chaque demi-heure
      Et dire qu’il y en a qui craignent l’augmentation des températures !

  2. Que dire de plus que ce que nous avons déjà dit et répété maintes fois ?
    Pour ces sénateurs, le “droit” à l’avortement est un absolu. L’État de Droit est intouchable. Tous les droits (et les coups) sont permis sans aucune réflexion éthique ou morale. À ce train (de sénateurs), la République assassinera bientôt les bébés dans les berceaux de nos maternités. Lesquelles usurpent de ce qualificatif. Elles ressemblent de plus en plus à des antichambres de la mort.
    Ces élus ne savent pas (ou plus) qu’eux-mêmes ont été, un jour, un zygote, un fœtus, un embryon dans le ventre de leur mère. Le droit de vivre que leur a accordé leur maman devrait les inciter à légiférer en faveur de ce même droit pour tous. La République se prétend universelle ?
    L’exception promise par Simone Veil est devenue la règle. Elle est en train de se généraliser.
    Comme le disait le poète Alfred de Musset : “Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée”.
    Il serait grand temps de la fermer.

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