Le député Eric Ciotti vient d'obtenir du gouvernement le nombre d'étrangers fichés au FSPRT (radicalisation terroriste) : 15% des 18500 (soit 2800). Il reste à savoir le nombre de Français (de fraîche date) également fichés.
Pour suivre 1 personne il faut environ 20 policiers. Selon un officier de la DGSI :
« Pour suivre sérieusement une seule personne, il faut au moins une équipe pour le jour et une pour la nuit. Mais aussi des véhicules pour faire des filatures, des moyens techniques pour faire des écoutes administratives. On arrive vite à quinze ou vingt policiers pour suivre une personne. »
Merci à GdC
Reine Tak
L’islam(isme) nous a déclaré la guerre.
Que fait-on, en temps de guerre, des ennemis ?
Affecte-t-on 20 policiers à la surveillance de chacun d’eux en attendant qu’ils passent à l’acte ?
Dans le cas de nos fichés S étrangers, ne pourrait-on, au moins, les renvoyer chez eux ?
Irishman
Bien parlé, Reine Tak ! Le bon sens même…
Mais je souhaite ajouter que, pour ma part (j’ai été cadre de réserve pendant 10 ans), un ennemi qui m’a déclaré la guerre et qui agit en ennemi sur mon propre sol, eh bien je le traite en ennemi : je le mets “hors de combat”…
C’est sans doute trop compliqué à comprendre pour toutes nos huiles politico-merdiatiques à grosse tête !
lavandin
il serait plus économique de les foutre dehors et d’affecter les policiers à d’autres tâches
Oncle Donald
Et nos zotorités se justifient de ne pouvoir tous les suivre par le manque d’effectifs… Mais alors pourquoi augmenter encore potentiellement le nombre d’islamistes fichables en laissant n’importe qui entrer sous prétexte d’humanitaire, sans rien savoir de son passé ?