Tandis que le Premier ministre a fait du port du masque obligatoire, y compris à vélo, son cheval de bataille, on apprend que « sur les listings de la Sécurité sociale, il y a 14 millions de centenaires ». Une donnée rapportée à partir des travaux réalisés par le magistrat Charles Prats. CNews ajoute que seuls 3 millions de ces centenaires sont considérés comme toujours en vie par l’assurance maladie.
Or, d’après l’Insee, la France compte seulement 21 000 citoyens de 100 ans et plus. Le coût de la fraude à la Sécurité sociale se situerait autour de 10 % du budget de la Sécu.
En avril, Charles Prats expliquait au Figaro que
« l’enjeu annuel pour les 2,5 millions d’individus “fantômes” bénéficiant de prestations s’élève à près de 30 milliards d’euros auxquels il faut rajouter les autres types de fraudes sociales, car ces 30 milliards ne concernent que la fraude potentielle à l’immatriculation sociale » !
Il précisait aussi qu’il
« peut [y] avoir des individus créant des identités fictives en grand nombre, comme cette famille roumaine qui en avait créé 1 200 dans le Nord en 2018 pour escroquer 1,7 million d’euros d’allocations. Ou bien les immigrés clandestins qui créent des identités européennes pour bénéficier de notre système social ».
Le Covid est devenu un virus de désinformation : en parler matin, midi et soir, permet d’éviter d’évoquer l’immigration et son cortège lugubre de conséquences : fraudes, insécurité, islamisation…