4 soldats français du 8e RPIMa ont été blessés hier dans un accrochage survenu en Kapisa, une région située à l’est de Kaboul. Selon des sources militaires, il est survenu lorsqu’une vingtaine d’assaillants embusqués ont ouvert le feu, notamment au RPG (lance-roquettes), sur une section du 8e RPIMa. Cette trentaine de soldats français effectuait une mission de reconnaissance aux côtés de policiers afghans dont l’un a également été blessé dans l’affrontement, qui s’est prolongé de 14H50 à 17H00.
MJ
Addendum lundi : on compterait en fait 9 soldats blessés, tous du 8e RPIMA.
trahoir
Est ce que les enturbannés ont décidé de s’acharner “spécifiquement” sur des français pour les faire partir en jouant sur le (rapide) ras le bol de l’opinion publique franchouillarde (la France étant une sorte de ventre mou…) ou alors est ce une radicalisation anti française annonciatrice d’attentats sur notre sol national que les rodomontades télévisées alliotmariesque tendance ex-pasquaienne n’empêcheront pas, même si avec un peu de chance dans un attentat en IDF ils risquent de tuer peu de “gaulois” et plus de leurs correligionnaires…En avant pour une (des) Mama Galledou version attentat parisien ?
Serval
@ Trahoir
Non, c’est une zone d’opérations, et si les media ne portaient aucun intérêt aux morts allemands, britanniques, canadiens et américains, la présence supplémentaire française, le débat créé, l’embuscade du 18 août et le barnum présidentiel qui a suivi vous pousse à croire que les forces françaises sont principalement visées.
Elles sont simplement au coeur de la poudrière. A savoir que les accrochements ont toujours eu lieu mais avant seules les FS y prenaient part. L’ISAF (à Kaboul) n’exposait que peu nos soldats “conventionnels”.
Cependant, je vous concède que la gestion de crise suite à l’embuscade a ouvert une nouvelle exploitation pour les talebs, et qu’ils ne se gêneront pas pour la rentabiliser.
jean
Quoi qu’il en soit, partons de ce bourbier, laissons les Afghans s’entretuer en toute liberté, égalité ett fraternité chez eux.
On peut toujours offrir nos bons offices quand ils voudront négocier.