Ce seraient les pertes sèches du Figaro. Elles pourraient même atteindre 10 millions d’euros, selon des sources internes. Et ce serait la faute à la publicité, explique Francis Morel, directeur général du Figaro :
"L’année 2007 a été une année noire pour la publicité dans la presse. Les petites annonces représentaient 150 millions d’euros en 1995, la meilleure ; elles ne pèsent plus que 25 millions cette année".
C’est trop dur de se remettre en cause. Une chose devient certaine : le mauvais journalisme ne paie pas.