C'est ce que montre une enquête du Parisien, réalisée auprès des classes moyennes, cibles politiques privilégiées pour la gauche comme pour la droite :
"[…]les Français, en particulier les classes moyennes, ne croient plus que l'école favorise la promotion sociale de leurs enfants.[…]Principaux enseignements : la peur du déclassement pour leurs enfants, et du coup un stress qui les conduit à chercher de l'aide en dehors de la classe.[…]
L'enquête montre que
[…] "67 % des Français ayant des enfants scolarisés sont demandeurs d'un soutien scolaire à l'école. 43 % pensent même que c'est la meilleure solution pour aider leur progéniture. En clair, ce supplément de maths, de physique ou de français n'est plus du tout réservé aux cancres, mais il devient la norme. Une façon de s'assurer – ou d'espérer – que son ado accédera à la meilleure filière, au meilleur bac puis au meilleur diplôme. Réflexe inévitable, regrette Louis Maurin, directeur de l'Observatoire des inégalités, « dans une école très compétitive qui fonctionne sur le mode de l'échec plutôt que celui de l'encouragement ».
L'idée d'une complémentaire éducation, à l'image des complémentaires santé ou retraite est avancée, pour pallier aux déficiences du système :
"Concrètement, les familles payant l'impôt sur le revenu pourraient déduire l'intégralité des heures de soutien scolaire (NDLR : aujourd'hui, une partie est déductible). Et celles qui ne le paient pas mais seraient tout autant demandeuses recevraient un bon éducation donnant droit à un volume d'heures de soutien. » Une telle mesure pourrait être financée, selon Fondapol [Fondation pour l'innovation politique-NDMB], par les collectivités locales ou par les entreprises employant les parents.[…]
Ce système aiderait sans doute les parents, mais dans le même temps, obligerait à reconnaître ouvertement que l'école est inapte à assurer un enseignement suffisant. Ne serait-il pas plus cohérent d'exiger que "l'école de la république" se remette en question et fasse ce pourquoi elle existe, donner aux élèves l'enseignement qu'elle est censée leur apporter, plutôt que de leur faire perdre leur temps avec la pseudo égalité filles-garçons ?
Zabo
Comment la fabrique de crétins pourrait-elle inspirer confiance, devant un tel constat d’échec, le “suicide culturel collectif” pressenti par le doyen Zamansky en 1968 est dores et déjà consommé !
PapounetBGT
Une partie non négligeable (de 1/3 à 1/2) de mes élèves de lycée de centre ville, milieu moyen, ne comprennent pas bien ce qu’ils lisent…
DUPORT
Il n’y aurait donc que 3 français sur 10 qui seraient de parfait crétins ?
Espérons-le ! Mais à mon avis ils sont plus nombreux que cela.
Mas
Les enfants seront de parfaits crétins, mais en matière de touche pipi, ils seront expert.
Merci qui? Merci Belkacem.
Le Forez
L école de la ripoublik n est qu un laboratoire pour formater les jeunes esprit à l idéologie dominante , non pour amener la bonne culture et des savoirs faire ! Ça se saurait s il en était autrement ! C est le but affiché ; la ripoublik se révèle , le masque tombe ! L école publique , c est la nouvelle religion laikarde tant désirée par le sayanim et frère trois points Peillon . Apatride parti en Suisse !