L’horreur s’est déroulée dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), dans le village abandonné de Kasanga, situé dans le territoire de Lubero, province du Nord-Kivu. Au cours du week-end du 14 février, 70 personnes ont été retrouvées décapitées dans une église protestante.
Les Forces démocratiques alliées (ADF), un groupe affilié au groupe État islamique, a capturé et ligoté une vingtaine de chrétiens de cette communauté de Mayba à 4 heures du matin, le jeudi 13 février. Le reste de la population, décidé à libérer les personnes enlevées, n’a malheureusement pas eu le temps de réagir. Vers 18 heures, des militants des ADF ont encerclé le village et ont capturé une cinquantaine de chrétiens. Tous les captifs ont été emmenés dans une église protestante de Kasanga où ils ont été sauvagement tués, soit à coups de marteau, soit à coups de machette.
Les victimes du massacre de l’église feraient partie des dizaines de personnes portées disparues depuis mercredi dernier dans le village. Des médias locaux ont révélé que les victimes avaient été décapitées à coups de machette.
Giacomo
On n’en a guère entendu nos média bien-pensants sur ces horreurs. Des chrétiens décapités, ce ne sont pas de “bonnes victimes” à leurs yeux. Des LGBT transgenres cocaïnomanes auraient fait leurs gros titres.
Peu d’échos non plus concernant ces mineurs affamés par la police au pays natal du wokisme, l’Afrique du Sud: 88 morts, bloqués dans une mine clandestine, c’est le meilleur moyen que le gouvernement de la RSA a trouvé pour dissuader les chercheurs d’or illégaux, après les plaintes répétées des grandes compagnies minières.