Ce petit pays d'Amérique Centrale a résisté à une double pression : celle de la présidente Laura Chinchilla – élue en 2010 sur un programme plutôt pro-vie, mais favorable à l'avortement en cas de viol ou de danger pour la santé de la mère – qui était à l'origine du texte, et celle de la Commission inter-américaine des droits de l'homme.