Un autre lecteur nous envoie ce sonnet :
Le glorieux coq se dresse à travers les fumées,
Subissant la caresse ardente de ce vent,
Haleine d’un dragon au souffle incandescent,
Nuage vermillon aux lumières dorées.
Hélas son courage ne semble pas suffire !
Son règne sans partage au-dessus de Paris
Se voit se terminer dans des cris infinis,
Alors que l’air léger accueille son soupire.
Formidable flèche qui transperça mon cœur
Et la forêt sèche de toute ta hauteur,
Dans ta chute, tu sauvas cette belle couronne.
Merci Vierge Marie d’avoir ainsi veillé,
Et je vous en supplie, rempart immaculé :
Priez dans mes combats Ô puissante madone.