Des pictogrammes d'avertissement vont être apposés sur les boîtes de médicaments dont la prise comporte des risques pendant la grossesse. Près de deux tiers des médicaments sont concernés. Deux modèles de pictogrammes seront apposés sur les boîtes de médicaments concernés :
– un pictogramme « danger » (silhouette de femme enceinte dans un triangle rouge), qui signale aux patientes que le médicament doit être utilisé uniquement s’il n’y a pas d’autre médicament disponible ;
– un pictogramme « interdit » (silhouette de femme enceinte dans un rond rouge barré) qui signale aux patientes que le médicament ne doit pas être utilisé.
60 % des médicaments comporteront un pictogramme grossesse, dont un tiers le pictogramme « interdit » et deux tiers le pictogramme « danger ».
Les pilules abortives comporteront-elles le pictogramme "interdit" ?
Montalte
Je ne réagis pas trop quand je trouve les billets nuls mais là, c’est vraiment le cas. Quel rapport? Ces logos seront justement faits pour éviter soit des fausses couches, soit des malformations des enfants à naitre. Ils sont là pour protéger la femme et l’enfant. Franchement, il y bien mieux à faire pour lutter contre l’avortement. Au moins, la vidéo de Roselmack a un rapport avec la choucroute…
florilège
@ Montalte
Ce billet n’est pas nul parce qu’il dénonce l’incohérence de ceux qui nous gouvernent.
Ces logos sont justifiés, mais à côté de ça, rien n’est fait pour décourager les avortements, autrement plus graves.
Idem avec cette campagne de vaccination des enfants sensée les protéger, et à côté de ça, on tue les bébés à tire larigo, sans aucun scrupule.
florilège
Cette vidéo de Roselmack laisse un goût profondément amer. L’IMG est une horreur, d’autant plus que la vie de la mère n’était absolument pas en danger. Cette femme est profondément blessée, mais sa blessure aurait été un peu moindre si elle avait été conseillée vraiment chrétiennement : aller jusqu’au bout de sa grossesse, baptiser son enfant, remettre à Dieu l’avenir de ce dernier et non pas en être “l’assassin”, même si tout ceci était enveloppé de “bons sentiments”. En gros, elle a rajouté la culpabilité au traumatisme de la perte de son enfant.