Le ministre des Affaires étrangères a pris l’avion pour la Colombie, sans sac de riz, mais avec la ferme intention de débloquer la libération d’Ingrid Bétancourt. Aujourd’hui, il a admis :
"J’ai de l’espoir, j’ai de l’espoir mais c’est très, très très difficile. Nous devons attendre".
Voilà. Merci Monsieur le ministre. Combien aura coûté cette petite escapade ? On ne sait. Comme on ignore de combien la rançon a augmenté, à la faveur de ce médiatique déplacement.