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L'Eglise : L'Eglise en France

A Saint-Germain-en-Laye, les manifestants revendiquent : « Mon Dieu nous manifestons afin que Votre nom soit sanctifié ! »

A Saint-Germain-en-Laye, les manifestants revendiquent : « Mon Dieu nous manifestons afin que Votre nom soit sanctifié ! »

Le saint cardinal Newmann disait que « la messe est la plus belle chose de ce côté-ci du paradis ».

Dimanche 22 novembre à 15h00, les habitants de Saint-Germain-en-Laye et des environs ont répondu présent une nouvelle fois en nombre pour manifester publiquement leur attachement à la messe et pour exprimer clairement et fermement que pour un catholique l’éternité est plus importante que la vie.

En se retrouvant nombreux ils ont revendiqué haut et clair auprès de ceux dont le pouvoir vient de Dieu (quoi qu’ils en pensent et quoi qu’ils puissent malheureusement faire de ce pouvoir), ils ont revendiqué auprès des hommes politiques français le droit de rendre publiquement à leur Créateur le culte qui lui est dû.

Peut-être ce droit est-il un droit de l’Homme, sans doute ce droit est-il un droit constitutionnel, mais ce droit c’est d’abord et avant tout un droit naturel voulu par Dieu lui-même ! Les pouvoirs publics peuvent utiliser la contrainte et la force et la ruse, les simple fidèles catholiques savent bien quel est leur devoir !

Dimanche dernier ils ont revendiqué cette liberté. Une semaine après, puisque rien n’a changé, que les églises, comme sous la Révolution française, sont interdites au culte, ils ont renouvelé très logiquement leur rassemblement.

Et puisque on les somme d’organiser un rassemblement « revendicatif » ils ont revendiqué comme leur Père le leur a enseigné :

 « Mon Dieu nous manifestons afin que Votre nom soit sanctifié ! Pour que Votre règne arrive ! Pour que Votre volonté soit faite sur la terre comme elle est faite au Ciel ! »

Ils ont rappellé aux pouvoirs publics cette mise en garde adressée à Napoléon III par le très pugnace cardinal Pie, mémorable évêque de Poitiers, magistrale figure de Pasteur du troupeau : «Si l’heure n’est pas venue pour Jésus-Christ de régner (disait-il), alors l’heure n’est pas non plus venue pour les gouvernements de durer !»

A Paris en 2008, le pape Benoît XVI disait aux Français de sa douce et bonne voix que :

« Rien ne remplacera jamais le ministère des prêtres au cœur de l’Eglise ! Rien ne remplacera jamais une Messe pour le Salut du monde ! »

Les Saints-Germanois n’oublient pas les paroles du Saint Père, leur présence en ce jour a voulu en témoigner.

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