La marque de prêt-à-porter de luxe Balenciaga est au cœur d’une polémique après la publication de sa campagne publicitaire pour sa collection printemps-été 2023. Les visuels proposés par la marque ont particulièrement choqué, certaines photos mettant en scène des enfants avec des accessoires évoquant les pratiques sadomasochistes… Une autre photo faisant la promotion d’un sac en partenariat avec Adidas laissait quant à elle entrevoir, sur un bureau en désordre, une feuille sur laquelle on peut reconnaître un arrêt de la Cour suprême étasunienne portant sur la pornographie infantile…
Réaction de Liberté Politique :
Derrière le scandale se trouvent des équipes de communication, des « artistes » et autres professionnels du marketing baignés dans un imaginaire glauque. Probablement assez familier de la consommation de substances illicites, ce petit monde répond a minima à un univers mental malsain et, dans le pire des cas, s’adonne à des pratiques abjectes. Sans entrer dans un détail de personnes ou de pratiques, il convient de relever ici l’aspect repoussant de cette petite caste qui n’a pas trompé les masses peu tolérantes avec ses dégénérescences. La levée de boucliers sur les réseaux sociaux a, pour une fois, eu des effets positifs en poussant la marque à reculer. Excuses et explications ne changeront d’ailleurs rien, si les responsables ne sont pas écartés. Ce nouveau scandale succède à une multitude de « dérapages » ou crimes graves de personnalités de premier ordre – à l’image de Duhamel, Cohn-Bendit, etc.
L’affaire Balenciaga implique plusieurs éléments qui méritent d’être envisagés à des degrés différents mais qui peuvent s’avérer complémentaires. Il s’agit avant tout d’une publicité ; les réclames doivent donner envie d’acheter, mais aussi, généralement, susciter l’adhésion du consommateur. Elles portent aussi souvent un message politique du vendeur au consommateur.
Ici, c’est évidemment sur la banalisation d’images subversives que surfent les spécialistes marketings. En allant trop loin ou trop vite, ils se sont néanmoins confrontés au bon sens de nombre de personnes qui n’admettent pas de mêler des contenus issus de l’imaginaire pornographique à des visages d’enfants. On touche d’ailleurs ici une notion évoquée par François Billot de Lochner dans un article du 19 août dernier sur le site de Stop au porno, dans lequel il explique les interconnexions qui peuvent exister entre consommation de contenus pornographiques et pédophilie.
La publicité comme outil d’incitation à la consommation peut ainsi être mise en œuvre pour instiller le goût de telle ou telle déviance ou attitude inappropriée. Lutter contre Balenciaga et les marchands dégénérés implique donc non seulement une certaine rectitude mais aussi de s’opposer à l’oppression publicitaire sous ses divers formes : affiches de rue, réclames dans les transports, contenus marchands intempestifs sur Internet…
🎥[Le JT] Macron aux Ehpads-Unis d’Amérique
– #Balenciaga met en scène la pédopornographie
Le JT en intégralité sur TVL 👇https://t.co/2WVxctq8XL pic.twitter.com/xLqTKufO0k
— TVL (@tvlofficiel) December 1, 2022
Quand on parle du scandale Balenciaga dans une émission française, cela les fait rire 🤬🤬🤬
Nous avons certainement la caste médiatique la plus dégénérée et la plus débile du monde. pic.twitter.com/tWV0wc62C1
— yann (@YAnonOf68) December 1, 2022
cadoudal
triomphe de la Révolution nihiliste,
des valeurs LGBT de la République
sur la Morale catho et réac.
la pollution moderne souille tout.
zongadar
Pour ceux que cela intéresse, Alexis en a parlé ici, il reprend les infos de l’excellent Tucker Carlson de Fox News vers 10mn et suiv. : https://odysee.com/@Radio-Quebec:a/tot:5
Meunier
Attention: le scandale réel n est pas la publication de ces images tendancieuses. Beaucoup d autres marques l avaient déjà fait, sous les plaintes des associations de victimes. Dont: Apple, Nike, et d autres.
Ce qui a permis, cette fois, de faire tomber l omerta sur ces réseaux au-delà de l abomination, c est le fait que sur *une* des photos, qui n est pas la pire visuellement, il y a une table avec un papier visible. Or ce papier contient le texte d un jugement d une cour américaine favorable à un abuseur d enfants.
Jusque la, les “artistes” jouaient avec le fait que les références abusives n etant que des références, il était impossible de prouver l intention. Cette fois ci, la revendication est claire et assumée, ce qui a enfin permis de faire tomber l omerta.
En parallèle, suite à l achat de twitter par Elon Musk: en 48h, les hashtag servant de point de repère à ces monstres ont été purgés de son réseau.
Il lui aura suffi de virer le responsable de l equipe charge de la protection de l enfance, quoi d autre? Le profil instagram de cette personne est traumatisant, de même que les profils Instagram de plusieurs des “artistes” impliqués avec balenciaga. Photos de faunes traînant des enfants enchaînés et ensanglantés, etc etc etc. Au point de parfois se demander si ce sont des mises en scène.
Creuser ce sujet plus avant, c’est être certain d’abhorrer pour toujours ceux qui nous dirigent.
D'Haussy
Purge
D'Haussy
“Ouais, populace manipulée
Au profit de qui? Ce n’est pas stipulé
Orphelins violés, désarticulés
Les loisirs de la haute sont particuliers”
2min00sec
https://m.youtube.com/watch?v=TUEhJmjfC28
Antigone
Les thèses de Qanon rejoindraient elles finalement la sinistre réalité ? C’est à croire que les partisans de Qanon sont traités de conspirationnistes illuminés à dessein.
Toujours les mêmes qui les discréditent de toute la force de leur mépris, c’est une méthode qui a fait ses preuves.
Cela me rappelle la réaction sidérante de G. Maxwell à l’énoncé des charges qui pesaient contre elle : ” Foutaises!” s’était elle exclamée avec toute sa morgue.
Il est vrai qu’elle avait été choisie pour faire un discours à l’ONU en son temps et qu’elle avait été une invitée “d’honneur” au mariage de la fille Clinton…