L'ancienne ministre et présidente du Parlement européen Simone Veil a été élue au premier tour de scrutin par 22 voix sur 29 votants à l'Académie française. L'Académie française précise que le reste des suffrages s'est réparti entre cinq bulletins blancs et deux bulletins blancs marqués d'une croix. Les trois autres candidats n'ont pas obtenu de voix. Elle occupera désormais le treizième fauteuil, en remplacement de l'ancien premier ministre Pierre Messmer, décédé le 29 août 2007.
Nicolas Sarkozy a immédiatement fait part de sa "très grande joie" à cette annonce, saluant la
"'femme d'Etat' toujours au service de la France [et] son perpétuel courage dans ses combats pour la liberté des femmes […] [Elle] appartient à [la] mémoire commune [des Français] et ils apprécient à la fois sa liberté et son indépendance d'esprit. Elle est un exemple pour nous tous."
Elle retrouve à l'Académie l'ancien président de la République Valéry Giscard d'Estaing, élu en 2003, et qui avait été à l'origine de sa carrière politique. Il ne manque plus que Jacques Chirac…
Adso
Dies Irae ! Jour de honte et de calamité pour la France !!!
cosaque
“Les 1er seront les derniers”…
AML
Elle est le parfait contre-exemple à ne pas suivre, n’en déplaise à Sarkozy !
Comment peut-on aduler une telle femme ?
Quel est son mérite ? Avoir échapper au camp de la mort ?
A chaque fois que son nom est cité je ne peux m’empêcher de faire le lien entre la fumée des cheminées des camps et celle des avortoirs…
Est-ce là une revanche sur le reste de l’humanité ?
Phil
Ils sont vraiment partout !
Berg
Ils sont des millions, là-haut, à pouvoir dire :
SIMONE M’A TUER
Marc
” son perpétuel courage dans ses combats pour la liberté des femmes ”
Et la liberté des enfants de simplement naître ?
VD
“Elle est un exemple pour nous tous.”
Dieu merci pas pour tous ! Il faudrait arrêter de prendre ses désirs pour des réalités. Je suis bien d’accord avec le message d’AML ci-dessus : quelle étrange psychologie que celle de cette femme devenue une “tueuse” à son tour…
Sait-on combien de personnes manifestaient devant l’Institut ?
Pierre
Pour Noël et pour toutes les autres occasions, je n’achèterais plus de livre de ces académiciens à la noix.
Mourre
Quel théologien peut m’expliquer les desseins de Dieu?
L’avoir sauver des camps de la mort pour exterminer des millions de bébés.
Incompréhensible à ce jour.
Et pourtant il ne peut qu’y avoir une raison.
tite
A mon avis ils ont du confondre avec Simone Weil
Croan
Dieu rendra justice au sang versé.
tonio
Sa responsabilité, certes particulière, n’exonère en rien les députés RPR absents de l’hémicycle cette nuit là…
Lydie
Je précise de suite que je suis CONTRE l’IVG.
Mais je me pose une question :
Si la loi n’existait pas , y aurait-il plus ? moins ? d’avortements ?
Lorsque le délai est … dépassé, en France, de toute façon les mères partent à l’étranger.
Il n’y a pas qu’une Simone ! hélas.
Prévention, éducation … ?
CE problème, le plus horrible, fait partie d’un tout. Et ça, pour le régler ….
fils de la promesse
Son crime devient celui d’une immortelle… Quels sont les noms des académiciens qui ont voté pour elle ?
free
@Lydie ; vous avez raison. Il est malheureusement certain que les avortements se feraient à l’étranger. Au départ la loi visait à éviter cela. Mais au fil des années de nombreux lobbies dits “féministes” mais appuyés par des anrchistes, et les médias, en ont voulu, et obtenu, plus. Résultat aujourd’hui le délai pour avorter n’a fait qu’être augmenté, d’où le nombre annuel d’enfants à naître “émiliminés” de plus en plus grand.
Le problème est qu’aussi on incitera davantage une femme à avoter, plutôt que la soutenir, dont l’aider à garder l’enfant qu’elle porte. L’avortement plutôt que d’être pratiqué dans des cas extrêmes (comme le viol), est devenu un “droit” dont il est possible d’abuser.
Paul
Ah, pour sûr M. Sarkozy.
Elle a toujours été au service de la France, en voulant “tuer” des musiciens, des architectes, des ingénieurs, des médecins français !!!
Je suis désolé, mais je suis un peu comme les rillettes Bordeau-Chesnel :
Veil et moi : “nous n’avons pas les mêmes valeurs”