L’Arménie et l’Azerbaïdjan ont annoncé un accord historique le 13 mars, ouvrant la voie à un traité de paix : les deux pays renoncent aux revendications territoriales et établissent des relations diplomatiques. Parmi les points clés figurent l’arrêt des poursuites judiciaires internationales et l’exclusion des forces étrangères le long de leur frontière.
Un désaccord persiste sur le Haut-Karabakh, l’Azerbaïdjan exigeant une modification constitutionnelle difficile pour l’Arménie. Malgré ces obstacles, la Turquie pourrait faciliter les négociations futures. Cet accord préliminaire constitue une avancée majeure vers la paix dans le Caucase, mais les tensions historiques rendent encore incertaine une solution définitive à court terme.
La conclusion d’un accord de paix ne garantirait pas seulement la stabilité du Caucase du Sud, mais elle ouvrirait également des opportunités économiques en établissant une voie de communication terrestre entre la Chine et l’Europe.