Petite expérience de l’hypocrisie des bonnes consciences se déclarant pour l’accueil des migrants décrite sur le site Breizh-info :
Début mars, le journal suédois Samhällsnytt, critique envers l’immigration, a mené une expérience sociale avec des défenseurs de l’immigration dans une ville suédoise. La question était de savoir s’ils accueilleraient effectivement des « réfugiés » si on leur en donnait l’occasion.
Un journaliste de Samhällsnytt s’est approché des passants dans la rue et leur a demandé s’ils étaient d’accord avec la politique suédoise concernant les réfugiés. En cas de réponse affirmative, il a ensuite posé une autre question : « Accepteriez-vous aussi des réfugiés dans votre propre foyer ? De nombreux passants ont également répondu par l’affirmative à cette question sans hésitation.
Mais la surprise est venue par la suite : le journaliste a déclaré qu’il avait déjà un réfugié du nom d’Ali avec lui, qui cherchait actuellement à être admis dans un logement privé. Un homme oriental apparait à côté du journaliste.
L’intervieweur demande alors si ces Suédois (qui sont favorables à l’accueil des migrants) sont prêts à accueillir Ali comme ils le prétendaient auparavant.
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On se souvient de ces appels à loger des migrants de la part de personnalités politiques ou d’artistes…et qui n’ont visiblement accueilli personne dans leurs luxueuses villas ou appartements (voir ici ou ici).
C.B.
Le même genre de “micro-trottoir” avait été réalisé il y a quelques mois en France (à Paris, il me semble), avec exactement les même scénario et exactement le même résultat. C’est vraiment beau ces générosités avec l’argent d’autrui. Et c’est vrai de la même manière pour les “gens de la haute” et pour les “gens de rien (ou presque)”. Évidemment très différent de la démarche du “bon Samaritain”, qui donne de son temps, de ses compétences ET de son aargent.
Chouan85
Il suffit de voir comment a évolué un département comme la Vendée en 20 ans. Je viens de passer dans une rue où il doit y avoir une officine quelconque. Une vingtaine de noirs (que des hommes jeunes) rassemblés attendant je ne sais quoi. Dans les rues beaucoup de femmes voilées.
Il y a 20 ans quand on croisait un noir on pensait que c’était un touriste.