"Une sombre affaire qui remet en lumière les techniques éprouvées des partisans de l’avortement pour le légaliser : utiliser une gamine, de préférence violée, en le faisant croire même si ce n’est pas le cas, afin de ne parler que des cas les plus horribles, sans avouer qu’ils ne sont (heureusement) qu’une poignée, en comparaison des centaines de milliers d’avortements dits « de convenance », quand ils ne sont pas un simple moyen de contraception. Une affaire qui rappelle aussi les pressions que subissent les femmes, notamment de la part de leur compagnon, pour aller avorter."