La Coordination pour les chrétiens d'Orient en danger (CHREDO) a déposé lundi une plainte contre X auprès du parquet de Paris pour acte de torture, crime de génocide et crime contre l'humanité contre les djihadistes français revenus d'Irak ou de Syrie. Son président Patrick Karam explique :
«Actuellement, rejoindre Daech est considéré comme un simple délit». «Certains ex-djihadistes se promènent en France avec un simple bracelet électronique.»
Et pendant ce temps, nos guignols du gouvernement font de l'esbroufe avec leur état d'urgence et leur révision de la Constitution.
Le président de la CHREDO demande donc plus de fermeté.
«Les jeunes qui rejoignent l'État islamique doivent prendre conscience qu'ils ne participent pas à une œuvre de libération, mais à un crime contre l'humanité».
Me Samia Maktouf, qui représente la CHREDO, ajoute :
«Notre plainte vise tout ressortissant français affilié à Daech. Il est inconcevable que ces personnes aient intégré ces réseaux sans avoir participé directement ou indirectement à des actes de torture ou de génocide».