Dans la polémique qui l’oppose aux catholiques et anglicans concernant l’adoption d’enfants par des couples homosexuels, Tony Blair a promis une décision dès la semaine prochaine. Dans un communiqué extrêmement prudent, le Premier ministre déclare qu’il
"avait toujours été, à titre personnel, pour le droit d’adopter par des couples homosexuels. Notre priorité sera toujours le bien-être de l’enfant".
Et insistant sur le "travail superbe" que font les agences d’adoption catholiques au Royaume-Uni, il a ajouté : "nous annoncerons une décision la semaine prochaine, et voterons, probablement le mois prochain".
"Les couples homosexuels, comme les agences catholiques ont eu beaucoup de succès quand il s’agit de l’adoption d’enfants difficiles à placer. Comment protéger le principe de mettre un terme aux discriminations contre les homosexuels, et protéger en même temps ces enfants vulnérables qui actuellement sont placés via les agences catholiques d’adoption ? Je suis déterminé à trouver une façon de régler cette question sensible et difficile".
Jean
Les homosexuels veulent vivre leur perversion jusqu’au bout et avoir l’impression qu’ils sont complètement hommes s’ils sont femmes et complètement femmes s’ils sont hommes.
L’enfant est juste un accessoire.
claire
Le problème c’est que Blair met dans la balance deux éléments qui ne vont pas ensemble, il ne trouvera jamais de juste décision dans ces conditions. La première chose est de déterminer si un couple homosexuel est un couple potientiellment parental comme un autre.
Si oui l’anthropologoe en aura pris un sacré coup mais ils peuvent adopter, point barre.
Si non, ils n’adopteront jamais. point barre.
Quele vision de l’homme, de la femme, du couple, de la sexualité, de la parenté???
Après on met en balance. On fait pas le contraire.
Ce n’est pas une question de discrimination, ça c’est un chiffon rouge culpabilisateur en direction des Eglises.
pef
Comment blair ose-t-il parler du bien être de l’enfant quand il se prépare à lui supprimer une famille en la remplaçant par un ou plusieurs invertis ? Tout le monde peut comprendre que c’est le rendre orphelin deux fois. On lui enléve la protection de la société quand il en a le plus besoin.
Tout le monde sait combien un pére et une mére sont essentiels au développement psychique d’un enfant; le précipiter dans un environnement pathogéne en faisant mine de se préoccuper de son bien-être pour grapiller qq voix est écoeurant !
Ces politiciens sont la honte de l’Humanité !
Noel
“Les couples homosexuels, comme les agences catholiques ont eu beaucoup de succès quand il s’agit de l’adoption d’enfants difficiles à placer.”
Cette analyse est étonnante. Comment peut-il évaluer positivement l’éducation donnée par ces personnes de même sexe alors que l’adoption ne leur est pas encore autorisée. Comment peut-il valoriser ainsi des cas marginaux et clandestins, sans étude officielle de valeur ? C’est vraiment n’importe quoi. Et le bon peuple, qui ne prend pas la peine de vérifier, va encore accueillir, comme dignes de foi, ces assertions sorties du chapeau.
Olivier
Est-ce que les anglicans sont vraiment contre l’adoption par un duo du même sexe, ou est-ce qu’ils se sont simplement (et presque de façon “déintéressée”) opposés à la loi qui empêcheraient les agences catholiques de continuer à fonctionner ?
(je pose la question à nos journalistes amateurs mais avisés du Salon.)
Je pense pour la seconde hypothèse, en tout cas au niveau des autorités, car il est sûr que beaucoup d’anglicans n’approuvent le délire ultraprogressiste de leur église (qui a ordonné évêque une personne homosexuelle).
Eric
Alors le pauvre gamin a été abandonné à la naissance, c’est déjà difficile à vivre, mais alors en plus certains voudraient le faire élever par deux mères ou deux père, l’un jouant le rôle du sexe opposé ?
Mais qui sont les dégentés qui peuvent demander pareilles choses ? Ils sont vraiment sans vergogne !
pef
Ce qui est ahurissant et parfaitement discriminatoire pour les enfants promis à l’adoption, c’est que certains auront droit à une famille normale, équilibrée alors que d’autres seront livrés à un ou plusieurs invertis en guise de famille; sur quels critéres une telle injustice?
Non seulement ces enfants n’auront pas leurs parents naturels, et on connait leurs souffrances, mais en plus ils atterriront dans un milieu hautement pathogéne, abandonnés par la société et promis à un avenir de désaxé.
Les politiciens qui autorisent ou encouragent de telles atrocités sont des criminels.