Une information divertissante, que nous avons manqué au coeur de l'été :
"Vincent Crase, le collaborateur d'Alexandre Benalla impliqué dans les violences commises Place de la Contre-escarpe et au Jardin des Plantes à Paris le 1er mai 2018, semble baigner dans un occultisme sulfureux, de type national-socialiste.
Le Greffier Noir a mis la main sur un ouvrage publié à compte d'auteur par Vincent Crase en mars 2011. Intitulé Itinérance, ce recueil de poésies affiche sur sa couverture la rune Algiz. Plus grave, plusieurs poèmes apologétiques développent des mythes fondateurs du mysticisme nazi, par exemple Thulé (poème : Les enfants de Thulé), ne laissant que peu de doutes sur les accointances idéologiques de l'auteur.
Assez curieusement, la société de sécurité Byblos, citée à de nombreuses reprises lors des auditions des commissions d’enquête du Sénat et de l'Assemblée nationale sur l'affaire Benalla, utilise une symbolique très similaire à celle de la couverture d’Itinérance, comme le démontre cette publication du 14 juin 2018 associant un svastika sénestrogyre au thème du sang. Deux symboles notoirement connus, au cœur des doctrines nazies (voir notamment Alfred Rosenberg, Le Mythe du XXeme siècle).
Il pourrait certes s'agir dans le cas Byblos d'une "coïncidence malheureuse", voire d'un trait d'humour douteux mais cette interprétation généreuse ne saurait en aucun cas s'appliquer au recueil Itinérance, dont le contenu est explicite. Quoi qu'il en soit, la récurrence de cette symbolique dans l'environnement de Vincent Crase, fondateur de la société Mars, et d'Alexandre Benalla est suffisamment frappante et inquiétante pour être signalée.
Svastika sénestrogyre, runes liées à l'occultisme nazi, référence voilée au mythe du sang et renvois explicites à Thulé dans des écrits apologétiques …. Qui étaient réellement les employés et chargés de mission sécurité d'Emmanuel Macron ?"