De Guillaume de Thieulloy dans Les 4 Vérités :
"L‘affaire BNP Paribas sera-telle le déclencheur d’une crise bancaire plus grave encore que la faillite de Lehmann Brothers ? Ce n’est pas impossible et, en tout cas, il convient de se préparer à un scénario catastrophe. Car la situation est bien plus grave aujourd’hui qu’elle n’était en 2008. D’abord, parce qu’aucune leçon n’a été tirée de la crise de 2008. Les dettes publiques n’ont jamais été aussi élevées et les créances « pourries » n’ont jamais été aussi nombreuses. Par ailleurs, l’accord Bâle III, qui était censé assainir la situation financière mondiale, a plutôt aggravé le danger, puisque, désormais, les banques sont fortement poussées à prêter aux États – activité réputée sans risque (!) – et à se désintéresser de l’économie réelle.
Certes, j’ai bien entendu, comme tout le monde, que la BCE avait massivement ouvert le robinet à crédit, en demandant aux banques de répercuter ce crédit en soutenant l’investissement, mais rien ne permet de croire que lesdites banques vont obtempérer ! Et, surtout, le relatif déclin (économique, mais surtout militaire et géopolitique) des États-Unis sous la présidence Obama a aiguisé les appétits de puissances émergentes. C’est le cas, en particulier, de ce qu’on appelle aujourd’hui les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud), auxquels il faut ajouter l’Iran, dont l’embargo semble ne pas devoir durer. Ces puissances souhaitent un monde multi-polaire – qui pourrait être aussi l’intérêt de la France, si nous avions encore une politique étrangère cohérente – et, par conséquent, auront, dans les années qui viennent, à s’opposer à la puissance américaine.
On peut regretter cet affrontement, mais c’est une réalité. Or, dans cet affrontement à la puissance américaine, nous pouvons observer au moins deux « théâtres d’opération » non militaires : la monnaie et les matières premières. Sur la monnaie, on sait que le dollar possède un énorme avantage, puisque presque toutes les transactions énergétiques sont libellées dans cette monnaie, ce qui force l’ensemble des pays à acheter des dollars… et donc à participer au paiement de la gigantesque inflation américaine.
Une des conséquences de l’amende de BNP Paribas pourrait être d’accélérer la « dédollarisation » (puisque la banque est accusée d’avoir libellé des opérations en dollars sans se soumettre aux lois bancaires américaines). Et, si dédollarisation il y a, elle touchera prioritairement les matières premières, et notamment les ressources énergétiques. On voit mal les États-Unis se résigner à perdre le rôle central du dollar. D’autant moins que leurs alliés du Golfe seraient instantanément déstabilisés.
Bref, la situation est fort périlleuse. Et la France est particulièrement mal partie avec des gouvernants aussi faibles et aussi versatiles. Certes, MM. Hol – lande et Fabius ont tapé du poing sur la table, mais sans réel moyen de pression. Et les pourfendeurs de la finance ne sont certes pas les mieux placés pour résister aux pressions financières. J’ajoute que la gifle de Barack Obama, faisant remarquer qu’aux États-Unis, contrairement à « d’autres pays », il n’était pas d’usage que l’exécutif fasse pression sur les juges, n’était pas volée.
Voilà à quoi mènent le capitalisme de connivence, si abondamment pratiqué chez nous (et très largement sur la planète), et les mensonges économiques de toutes sortes. Plus que jamais, nous souffrons de ces gouvernants faux monnayeurs et des joueurs de bonneteau de la finance internationale, qui, au lieu d’encourager l’épargne, gage d’investissement et d’indépendance, poussent à l’endettement, gage de soumission et de développement pharaonique de l’État-providence et de la démagogie électoraliste."
nemo
HARO SUR LA BNP
L’histoire de l’amende que la Justice Américaine veut infliger à la BNP pour blanchiment d’argent, autrement dit avoir passer outre les oukases de l’Empire en faisant des affaires avec les Barbares, n’est que la partie émergée de l’iceberg. En réalité, les Etats Unis veulent que la France annule le contrat de vente des 2 Mistrals à la Russie.
En termes diplomatiques, cela s’exprime comme ça:
A l’issue du sommet du G7 à Bruxelles, Barack Obama a ainsi rappelé qu’il préférerait voir cette vente « suspendue », en vertu des sanctions prises à l’encontre de Moscou en rapport avec la crise ukrainienne.
« J’ai exprimé mes inquiétudes, et je ne pense pas être le seul », a expliqué le président américain, reconnaissant qu’il s’agissait d’un « gros contrat »représentant des emplois pour la France. Toutefois, cette vente s’avère problématique pour Washington « au moment même où [la Russie] a violé la loi internationale et l’intégrité territoriale de son voisin ».
Dans les coulisses, les cowboys américains ont été plus brutaux:
“Si vous n’annulez pas la vente, nous coulons la BNP”.
Regardez la bougie du jour de la BNP, les traders ont joué la hausse après Draghi…
la Société Générale a gagné 3,6% aujourd’hui mais BNP a fini dans le rouge. Les américains ont joint le geste à la parole. Une telle bougie est extrêmement négative et annonce un retournement à la baisse et montre la force des vendeurs.
La France peut elle déchoir et annuler cette vente à la Russie ?
Ce serait perdre sa souveraineté et marquer son allégeance totale aux américains.
Ce serait renoncer à 1,2 Milliards d’euros, dont 50% ont été payés qu’il faudrait rembourser, sans parler du milliard d’euros de pénalités à payer.
Ce serait renoncer au contrat de formation des marins russes et à la maintenance
600 à 1000 emplois directs sont menacés…
D’un autre côté, la BNP est classée Too Big To Fail. Si elle chute, c’est l’ensemble du système qui s’effondre.
Les américains ne peuvent pas se tirer une balle dans le pied.
Donc c’est un très gros bluff de leur part.
Mais en face des cowboys, il y a Flamby, qu’on pourrait appeler couilles molles. Ce n’est pas lui qui pourrait s’asseoir à une table de poker et remporter la partie. Il va donc essayer de coucher.
Mais Poutine, qui lui est un joueur d’échec, peut renverser la donne en menaçant de couler les bons du trésor américains… selon un russophone de nos amis, qui a de bonnes sources, Poutine aurait déjà menacé Obama de provoquer un crash des US T-Bonds en quelques heures.
Il a promis une réponse asymétrique à chaque sanction, que voudrait lui infliger les Etats Unis. En voici une.
Et Flamby est coincé entre le corse et l’arabe… heu!.. je veux dire entre l’écorce et l’arbre, ou entre le marteau et l’enclume.
Par chance, j’ai un put sur la BNP ;-) … mais qui n’est pas encore gagnant, mais qui a de bonnes chances de le devenir.
Sur le fond, si la BNP chute trop et trop vite, il vaudra mieux sortir rapidement de tous ses produits à levier, avant que les shorts bancaires soient interdits, ou même que les bourses ne soient fermées. Il est même fortement conseillé de clore ses comptes à la banque, pour ne pas servir involontairement de bouclier humain.
Il est plus que temps de placer ses fonds dans du métal… parce que l’envolée pourrait arriver plus tôt que prévue.
C’est un des risques de l’été.
BAC +50 proche de la retraite
Une justice idépendante aux US, vous croyez à ce que raconte le Prix Nobel de la Paix ?
Juste une seule chose qui montre notre totale dépendance aux US: tout les systèmes de paiement international sont US. C’est pourquoi, aujourd’hui, ce systéme qui doit être lui aussi indépendant, permet le blocage des comptes russe en Russie !
Vous êtes, comme nous tous, loin de connaître ce qui se trame dans les alcôves feutrées du pouvoir, loin de maîtriser les tenant et les aboutissants de l’économie dont vous aviez surement prévu la crise de 2008.
Merci
non
Cette affaire est extrêmement importante. Elle montre combien les Étatsuniens n’ont que faire des intérêts de leurs soi-disants “partenaires” européens.
Nous avons là un avant-goût de ce qui se passera si, par malheur, les “politichiens” atlantistes signaient le TAFTA sans demander l’avis des peuples.
Il faut de toute évidence suspendre immédiatement les négociations sur ce traité mortifère, véritable menace pour les pays européens.
Jakrom
Mais pourquoi une banque française devrait-elle se soumettre à un embargo américain et payer une amende aux états-unis ?
D’autant que cet embargo est sur le point d’être levé et que les banques et entreprises américaines ne se privent pas de prendre déjà des contacts voire plus avec les irakiens.
jo
Comprendre la crise en 4 minutes
http://www.les-crises.fr/comprendre-la-crise-ukraine-en-4-minutes-en-souriant/
jo
Voilà l’application de la fameuse phrase de Nuland : “Que l’UE aille se faire foutre” !
Il y a plusieurs points à constater :
– tuer bien évidemment les relations françaises diplomatiques et d’affaires avec la Russie qui remontent à loin : Henri Ier de France (capétien) avait eu pour épouse Anne de Russie.
– l’injonction de transférer le contrat des vedettes Mistral passé avec la Russie au profit de l’OTAN ! Ce qui voudrait dire : pas de rentrée d’argent pour la France : la Russie devant être remboursée + les pénalités pour la rupture de contrat. Donc dette supplémentaire pour la France, car côté OTAN Obama veut une augmentation de budget donc la France n’aurait aucun remboursement !
Budget de l’OTAN qui représente 60% du budget militaire mondial !
– la réaction de la France quant à la cession de Alstom ! Donc l’amende de la BNP correspond au prix proposé par la GE pour Alstom !
– ce pays qui est le donneur d’ordres au monde, qui fait la morale à tout le monde a imposé que la SNCF soit reconnue comme responsable de la déportation de juifs ! Or, si vous lisez A. Sutton, vous apprenez que pendant la guerre les entreprises américaines ont financé et assisté Hitler !
“Wall Street a financé les Nazis
Sans les fonds fourni par Wall Street, il n’y aurait pas eu d’Hitler et pas de Deuxième Guerre mondiale.
Dans son ouvrage « Wall Street and the Rise of Hitler », le professeur Anthony Sutton explique que “General Motors, Ford, General Electric, DuPont” et d’autres “grande multinationales américaines intimement liées au développement de l’Allemagne Nazie, étaient contrôlées par les banques de Wall Street”, telles que “les firmes J.P. Morgan, la Chase Bank des Rockefeller et dans une moindre mesure la Warburg Manhattan Bank.”
La Standard Oil continua de fournir amplement des hydrocarbures tout au long de la guerre. Le pétrole était envoyé en Espagne puis pompé à travers la France, alors contrôlée par les Nazis, jusqu’en Allemagne.
General Motors et Ford ont construit 90% des blindés Nazis. IBM fabriqua les machines de recensement Hollerith qui aidèrent les officiers Nazis à gérer les dissidents au sein des camps de concentration.”
Et bien sûr vous trouvez General Electric la société qui veut acquérir Alstom !!!
Donc là nous entrons dans le “fais ce que je te dis, mais pas ce que je fais !”
– Poutine, selon Irib, vient de signer un méga contrat gazier avec la Chine d’une valeur de 400 milliards de dollars non pas sur la base du dollar mais sur celle des monnaies chinoise et russe.
Par ailleurs, Moscou vient d’annoncer la suppression du dollar dans ses transactions avec la Corée du nord et son remplacement par le rouble ! ” à l’issu des semaines de concertations, la Corée du nord et la Russie ont convenu de supprimer à partir du mois de juin le billet vert de leurs échanges et à adopter à la place, le rouble russe ”
– L’amérique veut-elle entraîner le monde dans sa faillite et sa chute ? Elle a déjà bien endetté l’Europe et quand on voit l’instabilité en Irak, en Libye… son influence est vraiment nocive pour le monde !!!
meltoisan
Désolé mais je n’ai pas trouvé cet article avec le lien vers les 4 vérités ni en faisant des recherches sur ce site !
[Il est dans la version papier. MJ]
jo
Il paraît qu’il serait candidat à la tête de l’UMP ????
Il vaut mieux l’entendre avant de voter !!!!
Encore un servile !
http://www.dailymotion.com/video/x1yozw1_bruno-le-maire-se-garder-la-possibilite-de-ne-pas-livrer-nos-navires-a-la-russie_news
Robert Marchenoir
Bien entendu, ce serait une ignominie de la part de la France que de livrer les Mistral à la Russie.
Une fois de plus, certains s’essuient les pieds sur les Ukrainiens pour avoir le plaisir de cracher à la figure des Américains. J’ai la faiblesse de croire que ce n’est ni moral ni chrétien.
Je suis consterné par cette disposition d’esprit qui consiste à reprocher aux Américains une immoralité supposée (“ils font des guerres pour le pétrole”, “seul l’argent les intéresse”), puis, dans la même phrase, à assurer qu’il faut vendre des armes aux Russes “parce que sinon la France va perdre des milliards”, “parce que des milliers d’emplois sont en jeu”.
Variante : à cause de l’embargo contre la dictature musulmane, sanguinaire et impérialiste de l’Iran qui menace la paix dans le monde, Peugeot vend moins de voitures et ça c’est mal.
En somme, lorsque les Américains font des choses pour l’argent, cela prouve leur immoralité et leur mercantilisme, mais lorsque les Français font des choses pour l’argent, cela prouve leur vertu et leur désintéressement.
J’avoue avoir du mal à comprendre.
Robert Marchenoir
“General Motors et Ford ont construit 90% des blindés Nazis.”
C’est une faribole complète, un mensonge éhonté qui tourne en boucle dans certaines franges de l’extrême-droite. Je me demande bien sur quoi s’appuie l’auteur de cette phrase pour émettre une stupidité aussi abyssale.
L’économie nazie était une économie de blocus consenti. Hitler a choisi la voie de l’autarcie contre la voie de collaboration économique avec les Etats-Unis, ce qui a directement conduit à la politique de Lebensraum, laquelle a planifié délibérément le massacre des populations d’Europe centrale par la faim au profit de l’effort de guerre.
En gros, Hitler a affamé les Juifs, les Polonais, les Ukrainiens, les Russes et même, en dernier recours, les Allemands, pour arriver à construire des tanks, des avions, et à trouver de l’essence pour les faire avancer. Et tout cela était dirigé contre les Etats-Unis, et dans le but déclaré de contrer leur immense puissance économique. Ce n’était pas fait avec leur collaboration, bien sûr !
Tout cela est parfaitement expliqué dans le remarquable traité d’Adam Tooze sur l’économie nazie, qui a été traduit aux Belles Lettres il y a peu sous le titre “Le salaire de la destruction” :
http://www.amazon.fr/Le-salaire-destruction-Formation-léconomie/dp/2251381163/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1402484905&sr=8-1&keywords=adam+tooze+belles+lettres
Tenter d’attribuer aux Etats-Unis la responsabilité du nazisme (et dédouaner le nazisme en sous-main par la même occasion), c’est vraiment se moquer du monde.
En fait, quand on lit Adam Tooze, on comprend que ce qui se rapproche le plus des conceptions économiques de Hitler (moins la guerre, la Shoah et la Gestapo), c’est l’économie selon Marine le Pen et Arnaud Montebourg.
Ce qu’a fait Hitler en matière économique, c’est ce que rêvent de faire aussi bien le Front national que le Parti socialiste : protectionnisme, auto-suffisance, “contrôle du politique sur l’économique”, stratégie industrielle dictée par le gouvernement, grands patrons à la botte de l’Etat, contrôle des prix par l’Etat, fixation du taux de profit maximum des entreprises par l’Etat, baisse artificielle et temporaire du chômage par la création de faux emplois ou d’emplois aidés pour des “grands travaux”, contrôle des changes, circulation des capitaux rigoureusement contrôlée par l’Etat, etc, etc.
Ceux qui sont nazis, ce ne sont pas les Américains, c’est le Front national, le Parti socialiste et le Front de gauche. Et pas (ou pas principalement) pour la raison alléguée par la gauche, à savoir l’antisémitisme, bien que celui-ci se porte fort bien à l’extrême-droite comme à l’extrême-gauche ; mais par la stupéfiante ressemblance de leurs programmes économiques avec la politique économique de Hitler.
Laquelle “a marché”, comme disent certains, uniquement dans la mesure où elle s’est nourrie de l’agression militaire nazie et l’a provoquée. L’économie selon Hitler ne pouvait “fonctionner” (et encore, au prix d’une oppression impitoyable, d’immenses souffrances et d’un mépris radical pour la vie humaine) que si l’impérialisme nazi arrivait à asservir une quantité toujours croissante de territoires et de populations.
Ce qui ne pouvait durer, naturellement, quand bien même on aurait le culot de considérer comme “efficace” une économie basée sur la volonté délibérée de faire mourir de faim des millions de personnes pour arriver à faire construire des dizaines de milliers de tanks à des Allemands à peine capable de s’acheter des vêtements pour se mettre sur le dos.
Nicolas Jaisson
J’en vois un qui commence à sentir l’opportunité politique derrière l’effondrement prévisible du système monétaire international, qui serait annoncé par la dé-dollarisation des transactions monétaires. Malheureusement il ne suffit pas ce changer de monnaie, pour créer de la richesse économique réelle et partant recréer les bases d’un système économique viable et durable. Ce qui se passe actuellement sur le marché chinois est très symptomatique de ce point de vue, dans la mesure où le yuan est souvent présenté comme une alternative au dollar. Alternative, vraiment? Il serait bon de rappeler comment les plans de relance chinois basés sur la spéculation immobilière ont été alimentés par l’offre d’argent bon marché pratiquée par la FED à laquelle les investisseurs empruntaient en dollars pour investir en yuans dans des projets à haut rendement. Malheureusement le carry trade entre la Chine, le Japon et les Etats-Unis est en panne, depuis que la FED a réduit ses QE et que la BPOC a refusé de refinancer la dette des fonds d’investissement chinois qui s’imaginaient pouvoir faire circuler indéfiniment la dette en yuan en profitant des facilités de financement offshore (titrisation des prêts bancaires par des véhicules offshore émettant en Renminbi). Exit donc la machine chinoise à faire du cash alimentée par la FED et les réserves monétaires chinoises placées en bons du Trésor en contrepartie de la création monétaire indéfinie de la banque centrale américaine. La Chine n’arrive même plus à placer son papier obligataire à un an depuis la série de défauts sur la dette non garantie par la banque chinoise. Donc le système financier multipolaire est directement compromis si la FED ne peut plus créer autant de dollars. Exit donc aussi la relève du dollar par le yuan, sans même parler du roubl, dans les choux sans les apports en capitaux étrangers pour financer les entreprises russes. La Chine est-elle capable de prendre la relève alors que son activité économique est tirée à 80% par l’immobilier en chute libre? Rien n’est moins sûr, malgré les fanfaronnades de certains journalistes, qui crient un peu vite à la fin du dollar.
SD-Vintage
@ Nicolas Jaisson | 11 juin 2014 16:24:10
Bien vu
@ Robert Marchenoir | 11 juin 2014 13:47:33
100 % d’accord.
Dans “nazi”, il y a “national” et “socialiste” : une économie du pillage.
Le FN / JMLP dans les années 80 étaient clairement de droite.
jo | 11 juin 2014 11:58:37 est sans doute un agent chinois chargé de semer l’antiaméricanisme en France en vue du prochain conflit.
MagikBus
Dans un monde normal ,on dénoncerait le racket américain agissant comme un voyou pour extorquer 10 milliards de dollars à une banque étrangère !
Dans un monde normal, chacun devrait avoir la liberté de vendre ou acheter sur les marchés mondiaux dans la monnaie de son choix ,sinon avoir une monnaie globale controlée par personne et pas soumise à un seul état , américain qui en profite abusivement pour faire sa politique contre d’autres nations et contre des entreprises étrangères .
Dans un monde normal ,toutes les nations s’opposeraient ensemble contre ces méthodes de voyous américaines ,et boykotterait une nation qui abuse à outrance de son privilège .
Dubois
Robert Marchenoir quelle surprise de le lire ici !
J’ai déjà eu l’occasion de lire ses opinions politiquement dans le droit fil des soumis et des adeptes sans vergogne de l’oligarchie cosmopolite sur certains sites de propagande européistes et pro usa.
Que vient-il faire sur ce site ? Cherche t-il à se faire un “nom” . Il semble ne pas réaliser que les “aficionados” du salon belge sont d’une autre trempe que ceux des sites “machines à abrutir” où il sévissait il y a quelques années.
Je suis une fidèle du salon beige depuis 5 ANS. C’est mon site de référence au quotidien pour avoir une vue rapide et générale de toutes les turpitudes des “merdias”
Dubois
N.B il faut lire beige et non belge . Lunettes, lunettes !
Robert Marchenoir
Mais mon cher Dubois, il me semble que vous êtes bien moins assidu que moi au Salon Beige. Je le lis tous les jours, et j’y commente régulièrement.
Visiblement, le Salon Beige aime davantage la liberté que vous, puisqu’il laisse la parole au peuple même lorsque celui-ci ne se conforme pas à la vulgate militante du moment : anti-libérale ici, pro-Poutine là…
Quels sont donc ces mystérieux sites “machines à abrutir” où je suis censé avoir “sévi” ? Je “sévis” sur des centaines de sites, vous savez, de tous bords et dans tous les pays…
Désolé d’avoir un point de vue et de l’étayer sur des faits précis. Vraiment, je m’excuse de penser par moi-même et de ne pas me contenter de réciter le petit manuel du militant quel qu’il soit.
Quand vous aurez quelque chose de concret à dire sur le sujet en débat, n’hésitez pas à revenir. Pour l’instant, vous me semblez surtout vous cantonner à des invectives et à des calomnies, attitude que je rencontre dans tous les milieux et tous les bords politiques : catholiques, athées, gauche, droite, socialistes, libéraux, “système” et “anti-système”…