Interrogée par Aleteia, Agnès Thil, dont l’ouvrage sort aujourd’hui, évoque son passage dans la franc-maçonnerie avant son retour à la foi :
Dans la religion catholique tout vient de Dieu tandis que dans la franc-maçonnerie tout vient de l’homme. C’est une différence essentielle. Les franc-maçons veulent s’améliorer et progresser, et c’est une belle vertu, mais seulement grâce à eux-mêmes, à leur force, à leur volonté. Or je pense qu’elle ne suffit pas. De la même manière au sein de la franc-maçonnerie on se doit une assistance fraternelle. Mais j’ai réalisé que cette assistance n’existe qu’entre nous. Du jour où j’ai quitté ma loge, aucune fraternité n’a tenu. Alors que pour l’Église, cette fraternité est universelle, peu importe notre religion. J’ai demandé en 2012 la confirmation que je n’avais jamais reçue.