Soirée avec Agnès Verdier-Molinié, directrice de l’iFRAP, à l’occasion de la sortie de son livre “En marche vers l’immobilisme ?” jeudi 14 mars 2019 à l’Université Inter-Âge à Versailles.
Agnès Verdier-Molinié chez les Éveilleurs : En marche vers l’immobilisme ?
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borphi
En fait tout l’art de relocaliser les entreprises parties produire à l’étranger ,et par là récréer des emplois en nombre en France , serait de baisser le coût du travail français.
De quelle manière ?
Probablement en décidant de ne plus financer un certain nombre de nos coûts sociaux par les revenus du travail mais par une TVA sociale..L’avantage de cette mesure serait d’élargir l’assiette de calcul de nos coûts sociaux aux productions importées et non plus aux seules productions françaises.
La conséquence d’une telle mesure aura pour effet de baisser le prix d’achat d’un véhicule produit en France via une baisse du coût du travail , pour augmenter celui du même véhicule produit aujourd’hui à l’étranger, via la TVA sociale.
Autrement dit de favoriser la relocalisation industrielle française.
Les charges sociales inhérentes à un salaire différé telles que chômage, indemnités journalières d’arrêt de travail , congés maternité/paternité et retraite doivent être supportées par le coût du travail, mais les charges relatives à nos coûts sociaux de soins médicaux et d’allocations sociales et familiales doivent être financées pour moitié par la CSG et autre moitié par une TVA sociale.