Un homme devait être jugé mercredi 15 septembre à Paris pour répondre de l’agression contre la procession commémorant le 150e anniversaire de la mort de prêtres et religieux pendant la Commune. Deux pèlerins avaient été blessés le 29 mai.
L’homme de 38 ans était convoqué devant le tribunal correctionnel pour des faits d’« entrave concertée par violences à la liberté de manifestation », « violation de la liberté de culte », « violences aggravées », « dégradations en réunion » et « vol ». L’AGRIF est partie civile dans ce procès. Mais le parquet a malencontreusement oublié de viser la circonstance aggravante anti-catholique…
Le procès a été renvoyé au 22 juin, l’avocat du prévenu plaidant également dans le procès des attentats de Paris.
Pitoune
La justice a ses priorités.
Ça concernait les catholiques, donc l’acte est quand même beaucoup moins grave et urgent que de porter une pancarte en carton avec question / réponses.
VIVANT
RAS. Les cathos sont des punching-ball depuis le paganisme matérialiste est en marche. La question de Dieu revient de manière virulente à l’intérieur du nihilisme postmoderne qui s’effondre sous nos yeux. Il suffit de voir comment le P. Laurent Stalla-Bourdillon s’est fait écharper quand il a osé dire que l’avortement provoqué était un crime. Il faut une Kelly pour qu’une Charlotte d’Ornellas puisse, avec des pincettes, en placer une bonne sur un plateau, hier, secondée par un Dimitri qui ose employer le mot de ‘personne’. Bravo Cnews.
F. JACQUEL
Ça tombe bien, ce sera juste APRÈS les législatives…