A l’appel du Comité du 17 février, environ 160 personnes ont manifesté hier [samedi] entre Sèvre-Babylone (près de la Banque de France et du Bon Marché) et l’hôtel de la monnaie après une distribution remarquée par les passants de faux billets de 200 francs pour demander le "retour au franc bon marché" et dénoncer "l’euro cher". […]
A noter que des incidents ont éclaté quelques minutes avant le début de la marche. Une quinzaine de nervis d’extrême-gauche a déboulé et attaqué plusieurs des personnes présentes, notamment des jeunes, provoquant un blessé sérieux et un certain affolement. Heureusement, la police est arrivée très rapidement et a enregistré les plaintes des victimes, mais les agresseurs ont pu s’enfuir.
Agression d’extrême-gauche lors d’une manifestation pour le retour du franc
4 commentaires
Publier une réponse
Vous devez avoir un compte pour publier un commentaire
F-Marie
Je pense qu’à tous les rassemblements de taille modeste, il faut arriver en groupe et avec le moins d’avance possible. Car il est facile pour des personnes opposantes de s’en prendre aux premiers venus… Quant aux organisateurs, il faut qu’ils prévoient un service d’ordre minimum.
Malleus
La enième démonstration que “les rebelles” d’extrême gauche ne sont que les milices du système.
Gégène
Il n’y a pas eu de blessé grave, juste une geule un peu amochée. Quand a la police, elle n’a fait que regarder.
Gryzon
C’est assez affligeant de voir dans notre famille politique des gens se plaindre sans cesse d’agressions et/ou de l’inaction policière. Sommes-nous des pleutres ou des laches ?
Les gauchistes ont recours à la violence, c’est dans leur nature et dans leur doctrine. Mais seulement à dix contre un ou contre un rassemblement pacifique. La police ne fait rien, car c’est sa mission de ne rien faire pour proteger les ennemis du système, tels catholiques anti-avortement ou patriotes. Une conclusion s’impose : afin de palier à cette insuffisance voire complicité policière, un solide service d’ordre. Au besoin faire appel à des volontaires par trop contents de (re)descendre dans la rue, les étudiants d’Assas, pra exemple.