Lu sur Novopress :
"Après l’assaut ultraviolent donné contre une voiture de police et contre son conducteur, cinq personnes sont toujours en garde à vue. Tous sont des « antifas ». Deux, Antonin B. et son frère, relèvent du groupe Action Anti-Fasciste Paris Banlieue. Les amis de Clément Méric !
Antonin B., « fils de bonne famille, domicilié dans le quartier de Montparnasse », avait fait l’objet d’une interdiction de manifestation, dont il avait obtenu la levée devant le tribunal administratif !
« Devant le tribunal administratif, rapporte iTélé, l’avocat de la préfecture avait produit contre Antonin B. une note blanche, datée du 28 avril 2016, des services de la Direction du Renseignement de la préfecture de Police (DRPP). Dans ce document, le préfet relevait que l’activiste présumé avait participé à deux rassemblements interdits et était “soupçonné d’avoir participé à l’agression d’un militaire, hors service, engagé dans l’opération Sentinelle dans la capitale“. Ce qu’a démenti l’intéressé, […] Pas suffisant pour le tribunal administratif, qui considère que le préfet de police ne “produit aucun élément permettant de retenir qu’Antonin B a personnellement participé à ces dégradations et violences“. »
Aujourd’hui Antonin B est soupçonné de « tentative d’homicide volontaire »."
Suite à l'affaire Méric, le ministre Valls avait dissous deux associations de droite nationale. Aujourd'hui, son successeur à l'intérieur est incapable de prononcer la dissolution des associations d'extrême-gauche, montrant par là sa complicité avec ces milices.