Le sénateur LR de Côte d’Or, Alain Houpert, médecin, déclare dans Valeurs Actuelles :
[…] Depuis que l’on parle des vaccins, des scientifiques ont exprimé leur doute sur le choix de cette unique stratégie. Mais ils n’ont pas été entendus. Même l’OMS remet aujourd’hui en question cette stratégie vaccinale si elle ne s’étend pas à la totalité des pays. La recherche de protocoles est un travail quotidien des médecins. C’est aussi une responsabilité que tout médecin sait devoir prendre à chaque diagnostic. L’exécutif, et particulièrement le ministre de la Santé, a décrété qu’il existait une recherche officielle et donc une médecine officielle, rédigée par un comité scientifique. Dès lors, tous ceux qui proposaient d’autres solutions ont été catalogués. Deux ans après, on le voit. La stratégie du tout vaccinal est un échec.
Que faut-il dire à ceux qui ne sont pas vaccinés ?
D’abord rappeler que les non-vaccinés ne sont pas des malades comme le laissent croire nos dirigeants. Je lis parfois des commentaires qui sont effrayants : ils seraient des assassins, des terroristes, certains parlent même de déserteurs.
La défiance des « non-vax » envers le vaccin est due aux approximations du gouvernement. Des masques inutiles devenus obligatoires. Des passes qui ne devaient jamais exister et qui sont aujourd’hui considérés comme une responsabilité, voire pour certaines catégories comme une obligation citoyenne.
Ensuite, tout le monde sait – y compris les médecins – qu’il y a des effets secondaires parfois graves. Le refus de l’exécutif d’être parfaitement transparent sur ces effets créé un vrai sentiment d’injustice. On parle de bénéfice risque à l’échelle nationale, mais quand le risque est là, ce sont des vies, des familles qui sont traumatisées. Il y a aujourd’hui une vraie instrumentalisation par le pouvoir de ces non-vax. Il faut toujours des boucs émissaires. Or si nous en sommes là, ce n’est pas la faute de personnes qui sont empêchées de vivre… mais bel et bien d’un exécutif qui a perdu la confiance des Français.
Quel doit être le rôle des médecins, en cette période de pandémie ?
Les médecins sont là pour soigner, rechercher avec le patient le meilleur protocole, prendre leurs responsabilités, assumer les risques et les erreurs et surtout, surtout, soigner sans discrimination. Ce qu’ils font au nom du serment d’Hippocrate dans les services de réa et c’est là leur honneur. […]
Quelle est l’alternative sanitaire, en plus du vaccin, pour faire face à un pic épidémique ?
Avoir un hôpital en bonne santé comme les soignants le réclament depuis des années. Car, depuis deux ans, qu’a réellement fait l’exécutif pour l’hôpital à part sortir le chéquier des contribuables et faire de grandes promesses ? A-t-on des lits de réa en plus ? Non, alors que le président de la République promettait d’en mobiliser 10 000 si nécessaire.
Ensuite, laisser les médecins assumer leur responsabilité dans la recherche de traitements sans passer plus de temps à les traîner dans la boue ou devant le Conseil de l’Ordre. On a beaucoup parlé du professeur Raoult. C’est à peine s’il n’était pas un criminel de guerre : au final a-t-il été condamné par ses pairs ? Non. Parce que le rôle du médecin est de chercher, de trouver, parfois aussi de se tromper mais dans tous les cas : de mettre les moyens nécessaires pour le bien du malade. Mais surtout, un médecin assume et prend ses responsabilités. […]
Bernard Mitjavile
Félicitations pour votre sélection d’articles sur le Covid de ce matin avec des interventions et réflexions sur le long terme interessantes (lettre à l’ordre des médecins).
zongadar
Merci. Ecoutons ce que disent Robert Mallone (créateur du vax1 ARm), Mike Yeadon (ex-n°2 et Dr scientifique de Pfizer), Geert Vanden Bossche (ex de la Fondation Gates), notre chère Alexandra H-C…., et plus modestement, notre fleuriste, le tanatopracteur de feu nos amis, ou encore le tatoueur du coin….Comprenons aussi que certains se disant ‘sachants’ ne savent pas car ils n’ont pas travaillé le sujet, se croyant ‘sachants’, et que c’est simplement une forme d’orgueil mal placé.
VIVANT
Alain HOUPERT narre bien la situation médicale. Mais il ‘oublie’ de la situer dans un contexte politique de conservation du pouvoir quoiqu’il en coûte. La crise n’est pas sanitaire (âge et nombre de décédés) mais c’est une crise politique car c’est une manipulation des foules par la peur engendrée artificiellement, par la dette organisée en vue d’une soumission aux créanciers, par la quasi-pédophilie sur les jeunes enfants qui ont pour vocation à soulager les octogénaires immortelles, car boomers 68ards. C’est le trans-inhumanisme en marche vers l’abîme nihiliste des décadents apatrides.