Ils n'ont pas aidé Henri Guaino, Jacques Myard ni Nadine Morano, sans doute trop à droite pour eux. En revanche, pour obtenir les vingt parrainages de parlementaires indispensables à sa qualification, Nathalie Kosciusko-Morizet, isolée dans son parti, libérale libertaire, a bénéficié du soutien d'Alain Juppé, de François Fillon et de Nicolas Sarkozy.