C'est ce que demande Christine Boutin :
"[Je] demande à Alain Minc de présenter ses excuses à Benoît XVI pour avoir insulté hier sur France Inter le pape, les catholiques, les Allemands et les Européens". "Laisser penser que les Allemands sont héritiers du nazisme, c'est précisément considérer qu'il y a une filiation du Mal, bref une sorte de racisme où la personne est assimilée à son groupe d'appartenance". "On peut se poser la question de savoir si M. Minc oserait attaquer de la même façon un imam ou le dalaï lama? Il est profondément regrettable qu'un conseiller comme ce Monsieur se laisse aller à de telles outrances".
brice de beauvau
pauvre crétin de minc ! et dire que c’est ce genre de “conseiller” qui gravite autour de notre “cher” président… tous nos présidents défunts doivent se retourner dans leurs tombes en voyant un exécutif aussi mal conseillé. même les plus laïcs n’ont jamais osé pareille déclaration envers le Saint Père. qu’il attaque les représentants du monde musulman en leur faisant supporter la responsabilité de l’esclavage islamique au moyen-âge et on verra la réaction ! oui, minc doit s’excuser au plus vite. et être écarter des couloirs de la république.
marie
esclavage islamique au moyen âge et jusqu’au monde monderne…
jean bidel
L’étoile du Minc est paraît-il en train de palir auprès de l’aéropage élyséen . Ce type qui préconise de dépouiller du bien chèrement acquis les enfants des “vieux” pour faire face aux soins que seraient censés réclamer ces mêmes vieux pendant leur fin de vie !
A rapprocher d’Attali qui lui , aussi radical, ne demande pas moins que la possibilité d’euthanasie après 65 ans de ces mêmes “vieux” pour ne pas avoir de frais médicaux à supporter !
Dans quel monde d’inhumanité vivons nous ? Et quel constat stupéfiant de constater que ces nuisibles ont l’oreille des puissants !
cosaque
Et dire aussi que Minc a écrit un bouquin d’histoire !
ça promet sérieux et rigueur scientifique…
raphael charles
Sauf grave erreur d’appréciation, il semblerait que ce Minc ( à rapprocher d’Attali mais aussi de Mohammed Hirsch ) appartient à l’élite qui dirige la France depuis quelque temps !…
Est-ce qu’un lecteur du SB pourrait avoir l’extrême bienveillance de prendre la peine de nous expliquer comment cela est possible ?
Pour ma part, je n’arrive pas à comprendre, sauf en faisant l’hypothèse qu’on pourrait résumer ainsi :
aurait-il une intelligence concentrée dans une puce aussi mince qu’une feuille de papier à cigarette et qui nous serait inaccessible, faute d’avoir le bon logiciel d’exploitation qui, seul, permettrait l’exploitation de ses données, que nous estimerions – à tort – parfaitement fumeuses ?
Bertrand
L’habit ne fait pas le moine
malgrès sa bonne tête se cache un franc mac dont sarkosy est entouré
tiens pour la suite de Marie
Dimanche 14 mai 2006 7 14 /05 /2006 22:03
L’Esclavage des blancs. Pourquoi ce silence sur cette réalité?
Olivier Pétré-Grenouilleau, Professeur à l’université de Bretagne-Sud (Lorient)
On l’ignore totalement : au XVIe siècle, les esclaves blancs razziés par les musulmans furent plus nombreux que les Africains déportés aux Amériques. L’historien américain Robert C. Davis restitue les pénibles conditions de vie de ces captifs italiens ou espagnols*.
On a pris aujourd’hui la mesure de la traite des esclaves noirs organisée par les négriers musulmans à travers le Sahara, ainsi qu’en direction du Moyen-Orient et des régions de l’océan Indien (1).
On sait aussi que l’affrontement entre l’islam et la chrétienté a alimenté en maures et en chrétiens les marchés d’esclaves des deux côtés de la Méditerranée médiévale.
Mais si des travaux, maintenant assez nombreux, avaient permis d’éclairer la question de l’esclavage dans les pays chrétiens, et notamment dans la péninsule Ibérique, on ne savait pas grand-chose de la condition réelle des esclaves chrétiens dans les États “ barbaresques ” d’Afrique du Nord. Une histoire souvent obscurcie par la légende.
Professeur d’histoire sociale italienne à l’université d’État de l’Ohio, Robert C. Davis nous en livre désormais, dans un ouvrage remarquable, une approche véritablement scientifique.
Le fruit de dix ans de travail, principalement en Italie.
Car l’Italie, “ œil de la chrétienté ”, fut sans aucun doute, entre le XVIe et le XVIIIe siècle, la région la plus touchée par les raids des Barbaresques, ou Africains du Nord.
Des villages y furent sinistrés, des activités (comme la pêche) entravées, des esprits et des sociétés durablement secoués. La Méditerranée devenant “ la mer de la peur ”, nombre d’Italiens auraient alors délaissé les littoraux pour s’installer plus loin, vers l’intérieur. A propos des effets à long terme de ces razzias, l’auteur va jusqu’à parler de “ désastre social et psychologique ” – une question qui mériterait sans doute des études plus étoffées.
Un million d’esclaves entre 1530 et 1780
Les causes de l’esclavage des chrétiens sont tour à tour mentionnées par Robert C. Davis : la Reconquista, le désir, de la part des musulmans, de prendre une revanche sur les croisades, l’appât du gain.
Mais ce qui l’intéresse, c’est surtout la question des conditions de vie de ces esclaves. Une question qui fut l’un des thèmes porteurs de l’historiographie consacrée à l’esclavage américain, et que Robert C. Davis tente d’appliquer, ici, à l’esclavage musulman.
Difficile d’estimer le nombre des esclaves blancs dans les pays barbaresques. On ne dispose que de données partielles, d’époques différentes, qu’il faut recouper avec soin. Parfois même se contenter de projections.
Contre Fernand Braudel, qui en avait minimisé l’ampleur (2), tout ce travail conduit l’auteur à une nouvelle pesée du phénomène. Estimant à environ 15 % le taux de mortalité des esclaves déjà plus ou moins acclimatés à leur nouvelle condition, il évalue entre un million et 1250000 le nombre d’esclaves blancs détenus, entre 1530 et 1780, sur un territoire s’étendant de l’Algérie à la Libye actuelles.
Au XVIe siècle, il y avait donc annuellement plus d’esclaves blancs razziés que d’Africains déportés aux Amériques.
90 % au moins de ces esclaves blancs étaient des hommes. Et comme on ne leur laissa guère l’occasion, de fait, d’avoir une descendance, la seule chose d’eux qui aurait pu leur survivre est le produit de leur travail, du moins pour ceux qui étaient affectés à de grandes tâches étatiques : construction de digues, de fortifications, de ports, de rues ou encore de palais. Mais une bonne partie de ces constructions a disparu. Cette institution, qui dura pourtant près de trois siècles, n’a donc laissé pratiquement aucune trace perceptible. “ L’autre esclavage ”, écrit Robert C. Davis, est ainsi devenu “ l’invisible esclavage ”.
Au XVIe siècle, de vastes opérations militaires étaient menées par les États barbaresques, jusqu’à l’intérieur des terres ennemies pour se procurer des esclaves. Mais, à partir des premières décennies du XVIIe siècle, les captifs blancs furent surtout le produit d’opérations corsaires privées. La valeur des esclaves pouvait représenter entre 20 et 100 % de celle des autres prises, navire et marchandises inclus. Aussi les Barbaresques s’occupaient-ils directement, non seulement de capturer les esclaves, mais aussi de les transporter et de les vendre.
L’appât du gain était renforcé par l’arrière-plan conflictuel entre chrétienté et islam. Sinon, comment comprendre l’horreur toute particulière que les cloches des églises des villages qu’ils razziaient inspiraient aux corsaires – dont certains étaient des chrétiens renégats ? Des cloches qu’ils déposaient souvent, et parfois emportaient avec eux – le bronze n’étant pas sans valeur. La violence exercée lors de ces raids avait également une tonalité en partie symbolique qui permettait d’entretenir la crainte des populations littorales.
Même chose pour les humiliations infligées dès leur capture aux nouveaux esclaves : obligation de se dénuder, administration de coups à l’aide de cordes à nœuds, puis, à leur arrivée à bon port, défilé des nouveaux asservis destiné à officialiser le triomphe de leurs nouveaux maîtres. Ainsi désocialisés, les esclaves étaient plus facilement soumis.
D’abord un peu mieux traités, afin qu’ils s’acclimatent correctement, ils étaient ensuite orientés vers des activités variées, allant du travail dans les orangeraies de Tunis au service domestique. Néanmoins, la plupart se voyaient confier des tâches particulièrement dures : galères, extraction et convoyage de pierres, construction, etc. Et aucun “ code blanc ” (à l’imitation du fameux code noir appliqué dans les Antilles françaises), même symbolique, ne venait limiter le pouvoir du maître sur son esclave “ infidèle ”.
Certains captifs jouissaient cependant d’un certain degré de liberté On leur demandait seulement de ramener, chaque matin, une certaine somme d’argent à leur maître ; système rappelant celui, dans les Antilles, des “ nègres à talents ” loués à des entrepreneurs. Le vol pouvait alors être à la fois acte de résistance et moyen de survivre au sein du système esclavagiste.
Cervantès captif des Barbaresques
Souvent, les esclaves chrétiens travaillaient comme domestiques au service de familles musulmanes. Mais ce type d’esclavage déclina plus rapidement que celui organisé au bénéfice des États barbaresques. Au point que, à la fin du XVIIIe siècle, la moitié des esclaves chrétiens d’Alger vivaient dans des bagnes publics. Les conditions d’existence y étaient extrêmement dures : il y régnait un climat de violence, notamment sexuelle, les geôliers étant accusés d’y favoriser, contre paiement, des pratiques sodomites.
Les captifs qui pouvaient faire l’objet d’une forte rançon échappaient vite à ces conditions d’existence. D’autres pouvaient être rachetés au bout de quelques années. Ce qui fut le cas de Miguel de Cervantès (1547-1616), l’auteur de Don Quichotte, esclave des Barbaresques entre 1571 et 1580. La chose devint théoriquement plus facile avec le temps, car des institutions religieuses spécialisées dans le rachat des captifs furent organisées de l’autre côté de la Méditerranée ; en Italie, des sommes importantes furent mobilisées pour le paiement des esclaves chrétiens.
La durée de captivité s’étendait ainsi, dans nombre de cas, de cinq à douze ans au maximum. Le taux de mortalité, cependant, demeurait élevé. Beaucoup d’esclaves n’avaient donc que peu d’espoir de retourner, un jour, chez eux.
O. P.-G.
Notes
* Robert C. Davis, Christian Slaves, Muslim Masters. White Slavery In The Mediterranean , The Barbary Coast And , 1500-1800, Basingstoke , Palgrave Macmillan, 2003.
1. Cf. “ La vérité sur l’esclavage ”, spécial, L’Histoire n° 280.
2. La Méditerranée et le monde méditerranéen à l’époque de Philippe II, Paris, Armand Colin, 9e éd., 1990
http://clubdesappalaches.skynetblogs.be/archive/2009/06/11/l-esclavage-des-blancs-et-leur-foi.html
Bertrand
Christian Vanneste, député (UMP) du Nord
http://www.christianvanneste.fr/
Le Saint Père avait en 2008 appelé les Etats d’où proviennent les migrations à prendre leurs responsabilités afin de stopper une source de délinquance. La Conférence des Evêques de France en rappelant l’importance de l’accueil des migrants, avait « estimé normal que notre pays définisse une politique de l’immigration », notamment en vue de « pourchasser les mafias, et autres circuits d’immigration clandestine, employeurs véreux, marchands de sommeil, etc ». C’est exactement ce que fait notre pays en engageant un travail en commun avec les autorités roumaines et la commission européenne. C’est pourquoi il est regrettable qu’Alain MINC ait attaqué Benoît XVI d’une manière assez ignoble, car raciste dans le fond, en lui reprochant d’être allemand. Cette maladresse devrait incliner plus que jamais Nicolas SARKOZY à écouter le peuple de droite, et le peuple français en général, plutôt que cette cour médiatico-mondaine, qui lui a déjà fait tant de tort.
donc c’est un minc-able ( une lettre de trop cherchez laquelle )
Ethos
Merci Bertrand, c’est bien de rappeler cette vérité cachée par tous les coquins.
Quant à AM, par pure hygiène, ne rien dire.
Bertrand
pour le con-seiller de sarkosy
Le nazisme a dévasté ma jeunesse, explique Benoît XVI aux jeunes
http://www.zenit.org/article-17775?l=french
ROME, Dimanche 20 avril 2008 (ZENIT.org) – Benoît XVI a expliqué aux jeunes des Etats-Unis comment sa jeunesse a été dévastée par le nazisme. Il les a exhortés à relever les défis de la société d’aujourd’hui pour semer l’espérance dans leur pays.
Le pape a rencontré les jeunes de New York ce dimanche, dernier jour de son voyage apostolique aux Etats-Unis, au séminaire Saint-Joseph de New York.
Benoît XVI a confié aux jeunes comment il a souffert pendant sa jeunesse de la destruction apportée par le nazisme : « Mes années d’adolescence, a-t-il dit, ont été dévastées par un régime sinistre qui pensait avoir les réponses à tout. Son influence a grandi – infiltrant les écoles et les milieux sociaux, politiques et religieux – avant qu’il ne soit pleinement reconnu comme le monstre qu’il était. Il bannit Dieu et devint ainsi inaccessible à tout ce qui était vrai et bon. Beaucoup de vos grands-parents et arrière-grands-parents vous auront raconté l’horreur de la destruction qui a suivi. En effet certains d’entre eux vinrent en Amérique justement pour fuir cette terreur ».
On se souvient que sa famille était résolument anti-nazie. Son père était abonné au quotidien anti-nazi de Bavière, « Der Gerade Weg » (« Le Juste Chemin »).
Lui-même adolescent fut notamment témoin de l’agression du curé de sa paroisse roué de coups par les nazis un dimanche avant la messe
Et au cours des derniers mois de la Deuxième guerre mondiale, il fut même enrôlé de force dans les services auxiliaires de défense antiaérienne.
C’est pourquoi le pape encourageait les jeunes à se mobiliser en ce temps de liberté religieuse pour eux en disant : « Remercions Dieu qu’aujourd’hui de nombreux jeunes de votre génération peuvent jouir des libertés qui ont surgi grâce à l’extension de la démocratie et du respect des droits de l’homme. Remercions Dieu pour tous ceux qui oeuvrent afin que vous puissiez grandir dans un environnement qui chérisse ce qui est beau, bon et vrai : vos parents, et vos grands-parents, vos professeurs, et vos prêtres, les responsables de la vie civile qui cherchent ce qui est droit et juste ».
Toutefois, le pape les avertissait que « le pouvoir de destruction demeure », et que ce serait « une folie de prétendre le contraire ».
« Pourtant, ajoutait le pape, il ne triomphe pas : il est défait. C’est l’essence de l’espérance qui nous définit en tant que chrétiens. Et l’Eglise rappelle cela dramatiquement lors du triduum pascal, et elle célèbre avec une grande joie pendant le temps pascal ! »
Les ténèbres que le Christ est venu dissiper, disait en substance le pape, ce sont par exemple « la répression », la manipulation », « l’abus de stupéfiants », le fait qu’existent encore des sans abri, des pauvres, des victimes du racisme, de la violence, de la dégradation, spécialement les jeunes filles et les femmes, des personnes traitées comme des « objets ».
« Je vous encourage à inviter les autres, spécialement vulnérables et innocents, à vous rejoindre sur le chemin de la bonté et de l’espérance », a-t-il déclaré.
Mais le pape citait aussi un autre domaine de ténèbres qui « affecte l’esprit » : la « manipulation de la vérité ».
C’est pourquoi il invitait les jeunes à être les protecteurs « rigoureux » de la liberté, qui cependant peut être « méconnue ».
Il les invitait également à réfléchir à la liberté qu’apporte le Christ et à regarder comment les saints ont vécu cette liberté.
« La lumière du Christ est à l’œuvre, a insisté le pape. C’est le chemin des saints. C’est une vision d’espérance magnifique » qui invite « au pardon, à la réconciliation, à l’humilité, à la joie et à la paix ».
Benoît XVI a aussi exhorté les jeunes à une vie de prière régulière, prière personnelle, communautaire, liturgie, et au silence de la contemplation, et il les a invités à ne pas avoir peur de répondre à l’appel du Christ dans la vie consacrée.
Le pape avait cité des saints des Etats-Unis : sainte Elizabeth Ann Seton, sainte Françoise-Xavier Cabrini, saint Jean Neumann, la bienheureuse Kateri Tekakwitha, le vénérable Pierre Toussaint, et le père Felix Varela.
Il les a invités à suivre leur exemple pour annoncer l’Evangile dans les rues de New York, en répondant aux défis d’aujourd’hui et comme les saints d’hier « répondre avec compassion » aux souffrances.
Le pape faisait en effet observer que « de nouvelles souffrances ont surgi : certaines sont complexes et viennent de l’exploitation du cœur et des manipulations de l’esprit ; et même notre maison commune, la terre, se lamente du poids de l’appétit de consommation, et d’une exploitation irresponsable. Nous devons écouter profondément. Nous devons répondre avec une action sociale renouvelée qui jaillit de l’amour universel qui ne connaît pas de frontières. De cette façon, nous sommes sûrs que nos œuvres de miséricorde et de justice deviendront une espérance en action pour les autres ».
Jésus t'aime
M.Minc, en insultant le Pape de la sorte, vous insultez aussi tous les Allemands. Oseriez-vous dire à Angela Merkel la même chose où est-ce juste pour attaquer encore l’Église et le Pape (vous seriez donc raciste envers les Chrétiens et plus particulièrement envers les Catholiques).
Mais bon, vu que je suis catholique pratiquant, je prie pour que vous corrigiez vos propos et que vous puissiez vous aussi connaître le vrai visage du Christ (qui a souffert et est mort pour vous : Il vous aime plus que toute autre personne ne peut vous aimer).
kilo
et face à un rabbin il ferait quoi ?
Egide
Il ne profère que des mensonges, ce Minc.
Pas très étonnant remarquez, On sait de qui il tient…
“menteur et père du mensonge…”
Bertrand
réponse à Kilo:
Rien bien entendu il est le fils d’un dentiste juif polonais naturalisé français en 1947
Alain Minc a été condamné le 28 novembre 2001 par le Tribunal de grande instance de Paris à verser 100 000 francs (environ 15 000 euros) à titre de dommages et intérêts pour plagiat, reproduction servile et contrefaçon, pour son ouvrage intitulé Spinoza, un roman juif, dont le tribunal a statué qu’il était une contrefaçon partielle de l’ouvrage Spinoza, le masque de la sagesse de Patrick Rödel.
Source Wikipédia
Papon
M. Minc a adopté le concept de responsabilité collective, ironiquement c’est ce même concept qui justifiait l’extermination des reces impures dans l’ideologie nazie.
Ann O'Neem
Voir (jusqu’au bout…) sa notice (et éventuellement la “page de discussion”) :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Alain_Minc