Les motifs exacts sont :
« Provocation publique non suivie d’effet à la commission d’atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation », « injure publique à raison de l’origine ou de l’appartenance ou de la non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée » et « provocation publique à la haine ou à la violence, à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de l’origine ou de l’appartenance ou de la non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée »
Assa Traoré appelle à faire « comme en Afrique, envahir le palais présidentiel » : on lui tend des micros, c’est une idole médiatique.
Comme l’écrit Breizh.info :
Alain Soral n’est pas l’icône noire d’une presse mainstream qui a trouvé comme nouveaux héros un homme ayant braqué une femme enceinte avec un pistolet sur son ventre, et un autre accusé d’avoir violé un détenu sous la menace d’une fourchette…
Alain Soral est poursuivi pour des écrits et pour des paroles. Il est parfaitement légitime d’être en désaccord avec cet individu. Mais il est permis de s’interroger sur l’état de la liberté d’expression, d’une part, et, d’autre part, sur le deux poids deux mesures de notre système.