Ainsi que le croyaient Abel Mestre et Caroline Monnot, qui l'avaient catalogué comme membre de "la nouvelle extrême droite post-11-Septembre". Sic
Breivik est plus simplement un fou.
En matière de manipulation de l'actualité, nos médias ont souvent utilisé l'amalgame et la diabolisation dès qu'il s'agit de la droite, et la minimisation dès qu'il s'agit de l'extrême-gauche, de l'écologisme ou de l'islam terroriste.