Lu sur le blog de Jeanne Smits :
"Andrea Bocelli, le très populaire chanteur italien, […] explique comment sa mère, enceinte, avait subi des traitements à l'hôpital (application de glace sur le ventre…) pour soigner une appendicite, et que les médecins l'avaient fortement incité à avorter en lui expliquant que son enfant serait sûrement handicapé à cause des soins reçus. Edi Bocelli refusa, avec courage.
Cinquante ans plus tard, Andréa témoigne et remercie cette « courageuse jeune épouse » : l'enfant, c'était lui. « Je suis peut-être partisan, mais je peux dire qu'elle a fait le bon choix. » Et d'expliquer qu'il espère ainsi « donner du courage à des femmes qui peuvent se trouver dans des situations difficiles », mais « qui veulent sauver la vie de leur enfant ».
Il est aveugle depuis l'âge de 12 ans, à la suite d'un glaucome héréditaire… Mais sa joie de vivre est là. Il a retrouvé la foi catholique en 1994."
Marc
Et j’ai envie de demander : qui sommes-nous pour décider qui peut vivre ou pas ?
Ca me rappelle la phrase d’un homme politique du XXe siècle, parlant de “l’existence indigne d’être vécue des malades mentaux”.
Cet hommes s’appellait Adolf Hitler.
Annette
Témoignage poignant! Ce sont ces personnes qui ont été protégées et sauvées par leur mamans courageuses qui devraient être le plus écoutées et prises en considération dans le débat sur l’avortement. Puisse la magnifique voix d’Adréa Bocelli porter très loin et se faire entendre pour cette cause.
free
Une femme est en ceinte, elle a la siphylis et a connu des fausses couches. De plus elle a déjà 3 enfants dont deux sont atteints de problèmes de santé ou souffre de handicaps mentaux. Lui conseillerez vous d’avorter…
Si vous répondez oui … vous venez de tuer Ludwig van Beethoven.