Daoudal Hebdo revient sur les "oeuvres" d'Andres Serrano :
"Serrano ne fait pas que bafouer l’image du Christ sur la croix. Cette photographie (en fait l’une des dix photographies de la même abjection), fait partie de la série des « immersions », où l’on trouve aussi une Vierge à l’enfant, par exemple… Il y a aussi une série de photographies de ses excréments. Pipi-caca : on voit l’âge mental de l’artiste. Sa série « L'histoire du sexe » est tout simplement pornographique. Quant à sa série « La Morgue », c’est une atteinte inqualifiable à la dignité humaine. Il est insupportable que Philipe Isnard soit révoqué de l’Education nationale pour avoir montré ce qu’est un avortement, et qu’Andres Serrano soit acclamé comme un grand artiste quand il photographie un corps éventré, ou des morceaux de chair sanguinolents. Serrano, c’est un des hélas nombreux témoins de la culture de mort dans l’art. Le blasphème contre le Christ n’est ici que le sceau diabolique de la volonté de salir et de détruire l’homme dans son humanité : la révolte contre la création devient forcément révolte contre l’incarnation."