Pauline Farges, élue du Groupe Annecy Bleu Marine (FN), dénonce :
"Le groupe Annecy Bleu Marine dénonce avec fermeté la diffusion le 13 mai prochain à Bonlieu du spectacle « Mon frère, ma princesse », oeuvre polémique au service d’une idéologie nauséabonde qui consiste à prôner l’indifférenciation des sexes. Ainsi, ce spectacle destiné à la jeunesse, a pour seul but d’affirmer que la sexualité n’est pas naturelle mais la conséquence d’une norme sociale, familiale et culturelle. La diffusion de ce mensonge éhonté a pour conséquence la propagation d’un endoctrinement nocif pour la construction psychologique de nos enfants. La ville se met donc au service d’une idéologie du genre qui n’existe officiellement pas. Après l’exposition abjecte de la fondation Salomon au haras de l’été dernier et le nouveau thème du festival du film d’animation de cette année la ville brille une fois de plus par ses choix artistiques : vulgarité, pornographie, idéologie du genre, rien n’est épargné. Les annéciens et annéciennes sont désormais avertis que la culture à Annecy est seulement réservée aux adultes et plus spécialement à ceux adeptes du laid."
Dès 2014, Le Salon Beige avait dénoncé cette pièce. L'auteur, Catherine Zambon, ne cache pas ses intentions :
« C’est quoi être une fille ? C’est quoi être un garçon ?C’est quoi qu’il faut savoir pour devenir « autre » ? Est-ce possible d’avoir envie d’être l’un ou l’autre ? Qu’est-ce que ça veut dire ? C’est quoi un garçon manqué ? Et une fille manquée ? Ça existe ? Et si on ne veut pas être celui-là ou celle-ci : fille ou garçon, il se passe quoi ? Ça veut dire quoi tout ça, au fait ? […]»
Le Dauphiné Libéré a réagi (cf article ci-contre).