Communiqué de l’ECLJ :
Deux semaines avant la dissolution, l’ECLJ était à l’Assemblée nationale et au Sénat pour rencontrer des parlementaires portant plusieurs projets en lien avec l’interruption volontaire de grossesse (IVG). Ces projets ont été conçus et discutés avec des femmes ayant subi une IVG et ayant eu le courage de témoigner devant ces parlementaires fin mai 2024.
Tous ces députés ont été réélus lors des élections législatives, qu’ils soient de l’ex-majorité présidentielle, des LR ou du RN, ce qui nous permet de poursuivre les projets suivants :
- Agir sur la prise en charge par la Sécurité sociale des deux premières échographies car, actuellement, elles sont mieux remboursées dans le cadre d’une IVG (100%) que pour une femme qui poursuit sa grossesse (70%) ;
- Modifier le contenu du site officiel « IVG.gouv » afin d’indiquer qu’il est fréquent que l’IVG ait des conséquences psychologiques négatives sur les femmes ;
- Initier une mission d’information sur les dérives du Planning familial.
L’ECLJ poursuivra son travail auprès de la nouvelle Assemblée nationale afin de mener également d’autres projets, relatifs notamment à l’éducation sexuelle dans les collèges/lycées, aux alternatives à l’IVG ainsi qu’à la protection des femmes subissant des pressions pour avorter.
Pour soutenir la protection de la vie humaine, dès sa conception, nous vous incitons à signer notre appel à une politique de prévention de l’avortement.