Après 11 cambriolages et un braquage, Lucette Giraud a décidé de baisser définitivement le rideau de son tabac-presse, à Châtillon-Saint-Jean (Drôme). Le 20 février, elle a appris par un courrier que son assurance était résiliée, à cause de ces méfaits à répétition.
Même si son tabac-presse est accueillant, il est en réalité un véritable bunker : portails en fer, barreaux aux fenêtres, caméras de surveillance, système de diffusion de gaz quand l'alarme se déclenche dans la réserve. Lucette Giraud a même eu l'idée de mettre de gros rochers devant la devanture. Avec son fils et sa belle-fille, la gérante a monté la garde plusieurs nuits, dans une voiture stationnée dans les champs avec vue sur le commerce. Mais rien n'y a fait. En près de six ans, les cambriolages se sont multipliés : barreaux sciés, caméras brisées et main basse sur le butin. En décembre 2009, sa belle-fille, également employée, s'est retrouvée pistolet sous la gorge, un autre dans les côtes, et a été priée de livrer la caisse à deux hommes cagoulés.
david
Sarko et Cie ne comprennent vraiment rien …c’est désespérant…
marie
Je suis curieuse de savoir qui va racheter ce fond de commerce ? et avec quel pourcentage de perte pour l’actuelle propriétaire ?
PK
C’est la France karcherisée selon notre bon maître…
david
Les mexicains en rient encore !
SD-Vintage
et résultat de la méthode Sarkozy de tolérance zéro
Exupéry
Toute qui reste, en France, de la balance d’équité, symbole de la “justice”, c’est uniquement son “fléau”!
Bernard
soyez bien certains que l’on vous dira , si un jour on arrête les voleurs (les “jeunes”), qu’ils étaient déjà “connu défavorablement des services de police”
jeffmoveone
Esperons voir les nouveaux proprietaires !
Anard
Victime des voyous,victime du système.
Robert
La meilleure garde ce ne sont ni les cailloux, ni les cameras… c’est du jambon partout.
Vive les cochonailles!
YannH
Les nouveaux propriétaires ? Certainement issus de la même communauté que les agresseurs chargés de faire baisser la valeur du commerce. Et hop ! ni vu ni connu j’t’embrouille.