Eric Zemmour a ouvert la série des interventions en critiquant le progressisme :
Le progrès c’est la grande religion de notre temps. Une femme peut être un père, merci Agnes Buzyn, comment ne pas être emporté par le niveau de cette analyse… ? Le progressisme est un matérialisme divinisé. Comment ne pas être ébloui par les tenues de Sibeth Ndiaye, sommet de l’élégance française ? Le progressisme fait de l’individu des êtres entièrement construits comme des légos, et qui peuvent ainsi être facilement déconstruits. L’ennemi à abattre, chez les progressistes, c’est l’homme blanc hétérosexuel et catholique, lui qui est coupable de tous les maux. Le seul ennemi des féministes hystériques est l’homme blanc. Si les femmes ne soutiennent pas les causes des LGBTIQ…XYZ, elles ne sont plus que de sales bourgeoises. L’Extrême-gauche a rangé son registre marxiste et la lutte des classes pour la défense des minorités.
L’universalisme droit de l’hommiste nous empêche de nous défendre contre l’islam radical qui conquiert inexorablement le terrain. Ceux qui ont voulu nous sortir de la guerre des nations nous ont amenés dans la guerre des races et des religions. Faisons une comparaisons avec les années 30, ils aiment tellement ça. Aujourd’hui nous vivons sous un nouveau pacte Germano-Soviétique. L’avenir est régit par une contrainte démographique, et ça, nos élites ne l’ont pas compris. Nous assistons à une colonisation inversée. L’Islam est prêt à nous vaincre avec son drapeau et sa charia. Tous les problèmes en Europe sont aggravés par l’immigration, non pas créés, mais aggravés. Les racailles et l’Islam se comportent en conquérants, l’alliance de la djelaba et la kalach.
Nous devons restaurer mes amis, restaurer la France, en étant fidèle à notre identité. Les jeunes français, seront-ils majoritaires sur la terre de leurs ancêtres. Cette question est capitale aujourd’hui, pensez-y.
Puis Robert Ménard a appelé à ne pas avoir peur des Torquemada du 20h :
Face aux biens-pensants, il faut attaquer, ne pas se laisser faire. J’ai besoin d’avoir des alliés autours de moi, j’ai besoin de vous pour m’aider.
Je veux quelqu’un, un chef, qui défende la vie des petites gens, face aux racailles qui détruisent tout, partout. L’immigration, chez nous ce n’est pas un concept. Les deux tiers des élèves sont des immigrés, dont une large partie de musulmans. Un maire comme moi dans une ville comme ça, dans 20 ans il y en aura plus. Alors je ne veux plus de cette droite qui a peur de tout ! Je veux une droite optimiste, le vrai clivage il est là. Sarkozy, Macron, Chirac, ils ont incarnés l’optimisme. Soyons une droite optimiste, mais qu’attendons nous, mettez les mains dans le cambouis, avec les vrais gens. On veut être le porte parole des petites gens. Je vous donne rendez vous dans 3 ans à l’Élysée, pas ici.
Après Gilles-Willam Goldnadel, c’est le député LR Xavier Breton, en pointe contre la loi de bioéthique, qui est intervenu :
La gauche est là pour émanciper, il faut s’émanciper des déterminisme, nous nous croyons dans l’enracinement, à partir de là on fait vivre. La personne humaine est fondée sur 3 piliers. La réalité physique, celle de l’éducation, et enfin celle de la reconnaissance sociale. L’enfant n’est pas que le produit de la volonté des adultes.
Je dîne avec qui je veux, je conventionne avec qui je veux.
Il avait été critiqué par son camp après un dîner avec Marion Maréchal et d’autres élus, en juin.
Vient ensuite Jean-Frédéric Poisson, critiquant l’islamisation :
Il existe un projet qui souhaite créer une République compatible avec l’islam. Ce mouvement, religieux et culturel, est financé par des états musulmans. Ils souhaitent installer le communautarisme. Petit à petit, se profile une fracture culturelle et cultuelle au sein de la société française. La conquête de l’islam est en cours ! C’est une décision qui a été prise par les Etats musulmans il y a 20 ans. Ils veulent fracturer la France et l’Occident ! Face à l’absence de projet commun, l’Islam en propose et réunit ses troupes. C’est l’absence de projet qui nous affaiblit.
C’est trop tard, c’est perdu … j’entends trop souvent cela. Nous seront en capacité de présenter aux Français un projet qui répondra à toutes ces inquiétudes, à toutes ces menaces. Il faut prendre conscience de ce que nous savons faire, débattre, défendre un projet, partager des convictions fortes … Est-ce que nous disposons d’un agenda commun? Il nous faut une organisation commune, un agenda politique commun, si nous ne le faisons pas, nous avons perdu. Mais je suis sur que nous avons la capacité de le faire. Nous allons entendre des choses passionnantes dans la journée à venir. Mais pour gagner les prochaines élections, il nous faut un agenda politique commun, un projet commun.
Guillaume Bigot a ensuite fustigé le politiquement correct :
La dictature de la pensée n’a jamais existé, il existe en revanche une dictature de l’idéologie. Vous pensez en dehors du cadre, vous êtes un salaud. La classe dirigeante est grégaire, elle à des préjugés de classe dirigeante. Les élites croient que la menace c’est l’islam terroriste alors que la vraie menace c’est l’islam culturel.
Gibert Collard a critiqué le laxisme de la justice.
Je comparaitrai devant la justice pour une photo prouvant l’horreur de l’état Islamique. J’ai reçu un papier, d’un psychiatre, spécialisé dans le traitement des transsexuels … La justice en est là. Plus sérieusement. Au fondement de toute société il y a l’idée de justice. C’est fondamental.
Paul-Marie Coûteaux s’est voulu optimiste :
Le vieux socle progressiste que l’on croyait impérissable, est en train de partir en fumée.
Dans un débat avec le Dr Alexandre, Olivier Babeau et Ivan Rioufol, Fabrice Hadjaj a fustigé :
La République en Marche c’est la république de la fuite en avant. On aborde beaucoup la question de la puissance. Que puis-je faire ? Que suis-je capable de faire ? Mais cette puissance manque trop souvent de finalité. La civilisation du poisson rouge c’est des techno-leaders incapables d’attention plus de 30 secondes. Voulons-nous chercher l’immortalité? Ou bien acceptons-nous la mort? Le système techno-capitaliste à très bien compris et utilisé ce questionnement anthropologique.