Le Syndicat national des gynécologues obstétriciens de France (Syngof)
met en garde les femmes contre l'utilisation des patches et
des anneaux contraceptifs. Ces deux
solutions de contraception utilisent les mêmes hormones que les pilules
récemment mises en cause. Selon l’ANSM (l'Agence
nationale de sécurité du médicament et des produits de santé), ces
hormones présentent un risque d'embolie pulmonaire et de phlébite deux
fois supérieur aux pilules de deuxième génération.