Mardi, la soirée Théma de la chaîne Arte a été écourtée. Intitulée «Femmes: pourquoi tant de haine?», elle s'est vue amputer, à la dernière minute, du documentaire "La cité du mâle", sur la cité Balzac, à Vitry-sur-Seine, cette ville du Val-de-Marne où, en 2002, Sohane a été brûlée vive dans un local à poubelles par un jeune homme de 19 ans. Le documentaire compile des témoignages de jeunes habitants de cette cité, filles comme garçons. A mots crus, provocants, ils y parlent de leur vision, qui ne peut que choquer, des relations hommes femmes. L'un d'eux y explique la différence entre «les filles bien» et les «chiennes», celles «qui se font trouer» avant le mariage. Sur les coups portés aux femmes, une jeune fille assure: «Je dis pas faut cogner, mais une petite claque ça fait pas de mal».
A 1 heure de la diffusion, vers 21h, Emmanuel Suard, directeur adjoint des programmes d'Arte France, indique :
"nous avons été contactés par des protagonistes du documentaire qui se disaient victimes de menaces et de pressions, et qui demandaient la déprogrammation."
Daniel Leconte, président de la société Doc en Stock, qui a produit la soirée Théma, rapporte :
"Une fixeuse (intermédiaire entre le terrain, dont il est originaire, et les journalistes qui enquêtent, ndlr) que nous avions engagée a demandé à voir le film en milieu d'après-midi. Après 5 mn de diffusion, elle a été prise de panique. Elle nous a dit qu'elle avait des enfants, une famille, qu'elle avait peur".
Arte compte reprogrammer le documentaire, après enquête sur la réalité des menaces rapportées. Daniel Leconte dénonce un «précédent inadmissible» et regrette d'avoir dû céder face aux «pressions de caïds de banlieue».
RL
En acceptant de témoigner devant une caméra, ces gens-là devaient bien se douter que cela serait diffusé un jour… Il fallait y penser avant et assumer ses choix.
zebuloneuf
Les professionnels de la TV auraient du penser à flouter les visages des intervenants. C’est drôle quand il s’agit de racailles ils n’oublient jamais de le faire.
Robert Marchenoir
«Je dis pas faut cogner, mais une petite claque ça fait pas de mal».
C’est, très exactement, ce que prescrit le Coran.
Rue 89 a montré le film à des jeunes gens vivant dans la commune. Dont un Arabe, et une jeune fille qui se décrit comme blanche et non musulmane.
Réagissant sur la phrase ci-dessus, cette jeune fille dit : “Si tu la mérites, prends-là. Mais moi si mon copain m’en met une, je retape direct.”
On voit donc que cette Française, blanche, “non-musulmane”, a déjà à moitié admis l’idéologie musulmane. Si elle affirme, pour elle-même, qu’elle ne se laissera jamais frapper, elle admet l’idée qu’une femme puisse “mériter” une claque de la part de son conjoint, et que certaines, même, devraient l’accepter.
Dans les faits, elle est, déjà, à moitié musulmane.
Tel est le terrifiant génie de l’islam. Voilà comment fonctionne le rouleau compresseur de l’impérialisme musulman : en asservissant les esprits, après avoir proféré des menaces physiques suivies d’effet.