"Maintenant, une intervention des médecins est plus urgente que jamais. Nous cherchons actuellement à organiser avec les autorités de la prison la visite de spécialistes disposant de notre confiance. Nous craignons vraiment pour sa santé et le fait qu’elle puisse tomber gravement malade et mourir en prison".
"Elle prie beaucoup et jeûne, offrant sa souffrance à Dieu. Mais nous espérons que la visite des médecins puisse la convaincre à recommencer à s’alimenter. Elle doit le faire pour son bien et pour sa santé".
Dans le monde se multiplient les communautés qui prient pour Asia Bibi et pour sa remise en liberté.
Michel
Ces persécutions islamiques sont effroyables!
Prions pour que elle recoive des secours de Dieu.
Majeur
Ma belle,
Les cerisiers dispersent de délicats essaims blancs.
Le vent les conduira au fond de ton enfer.
Mon chat est tendre sous ma caresse.
Son minois rassuré est source de sourires.
Je t’envoie sa douceur au fond de ton enfer.
Sur le mur du jardin la lumière, mille et mille matins retenus, me rassure du jour qui se lève.
Un fragment de sanglot t’apporte cette quiétude au fond de ton enfer.
Tu ne seras jamais seule.
Quéribus
Y dit quoi Sarko’ ?
Gondolfo
Comme elle a l’air douce et mérîte tant ce beau poème de Majeur.
Si on pouvait la naturaliser française, et lui donner le secrétariat d’état à la jeunesse et à la vie associative, “occupé” actuellement par la miss Bougrab…je suis sûr qu’Asia ferait un tabac, autre chose que les planqué(e)s-aux-ordres (contre grasses rémunérations, indemnités, prîmes et nombreux passe-droîts, avantages en nature, divers et variés…) qui sont paraît-il “l’élîte française”.
Des immigrés “légaux” comme Asia, aucun problème, je croîs!…mais je rêve, hélas! Pour nous autres Français, on n’a qu’à se ramasser les Belphégor, et se dé…..rder avec, pendant que ces petits messieurs et dames au pouvoir, se baladent en voîture officielle (tout gyrophare et klaxon hurlant pour que la valetaille se gare vîte fait sur le côté, sinon….), avant de pénétrer en trombe dans leurs châteaux et hôtels particuliers bien gardés, entre deux cocktails mondains.
C’était mon “quart d’heure Mélen-kon”…qui ne dît pas que des bêtises, entre deux ordureries staliniennes. Je suis hîlare, quand il parle de Marine, “qui vient de son château de Saint-Cloud”…
Comme si on n’avait pas le droît de vîvre chez son Papa!