Interrogé par la télévision italienne, le président syrien Bachar al-Assad a dénoncé l'amalgame entre son pays et le groupe Etat islamique :
« Je peux vous dire que Daech ne dispose pas d’un incubateur naturel, d’un incubateur social à l’intérieur de la Syrie ».
En revanche, il a pointé le
« soutien des Turcs, des Saoudiens et des Qataris, et bien sûr à la politique occidentale qui a soutenu les terroristes de différentes manières ».
L’EI « n’a pas démarré en Syrie. Il a débuté en Irak et avant, en Afghanistan ».