J’ai perdu quatre titres de championne d’État, deux titres de championne de Nouvelle-Angleterre et de nombreuses autres places sur le podium au profit de coureuses transgenres. J’ai été reléguée à la troisième place au sprint de 55 mètres en 2019, derrière deux coureurs transgenres. À chaque défaite, il devient de plus en plus difficile de réessayer.
C’est une expérience dévastatrice. Cela me dit que je ne suis pas assez bonne ; que mon corps n’est pas assez bon ; et que peu importe à quel point je travaille dur, j’ai peu de chances de réussir, parce que je suis une femme.
Cette expérience est la raison pour laquelle trois de mes camarades athlètes féminines et moi-même avons intenté un procès l’année dernière avec Alliance Defending Freedom contre la Connecticut Interscholastic Athletic Conference (CIAC) : parce que les filles et les femmes ne devraient pas être privées de leur droit à une compétition équitable.
Le CIAC autorise les hommes biologiques à concourir dans les sports féminins. Par conséquent, deux athlètes transgenres ont commencé à courir dans la piste des filles en 2017. Rien qu’au cours des saisons 2017, 2018 et 2019, ces coureuses ont raflé 15 titres de championnes d’État d’athlétisme féminin (titres détenus en 2016 par neuf filles différentes) et plus de 85 opportunités de participer à des compétitions de plus haut niveau qui appartenaient aux athlètes d’athlétisme féminin.
Mais un tribunal fédéral de district a récemment rejeté l’affaire. Outre l’impact psychologique des défaites injustes et répétées, la politique du CIAC a des conséquences plus tangibles pour les femmes. Elle prive les filles de la possibilité de courir devant les recruteurs universitaires qui se présentent pour les épreuves d’élite, et de concourir pour les bourses et les opportunités qui accompagnent le recrutement universitaire.
Et ça n’arrive pas qu’à moi. Mon amie et collègue plaignante Selina Soule a été écartée de la qualification pour la finale du 55 mètres du championnat d’État et de la possibilité de se qualifier pour le championnat de Nouvelle-Angleterre par un coureur transgenre en 2019. Pendant ce temps, Alanna Smith, une athlète féminine incroyablement talentueuse, était la deuxième coureuse du 200 mètres aux championnats régionaux de Nouvelle-Angleterre, mais a été rétrogradée à la troisième place derrière une concurrente transgenre.
Il est décourageant que le tribunal fédéral de district ait décidé que ces expériences – ces opportunités perdues – n’ont tout simplement aucune importance.
Elle et ses camarades athlètes ont décidé de faire appel de la décision du tribunal fédéral de district, devant la Cour d’appel des États-Unis.
Chouan85
Cette folie démontre que la différence entre les hommes (même ceux qui se croient des femmes) et les femmes est bien réelle sur le plan biologique, notamment les performances physiques.
La réalité détruit leurs délires.
PierreMontamat
Donald, reviens !
Ne vous inquiétez pas, ces petits problèmes – ‘petits’ en ce qui concerne le sport – ne sont pas bien graves en eux-mêmes, mais ils servent seulement à la prise de conscience des endormis qui ont cru qu’en votant pour un sénile et sa bande d’incapables, les USA iraient bien !
Par contre, la stratégie est dangereuse, voire nuisible, comme par exemple (entre 1.000) lorsque 100.000 haïtiens en situation irrégulière bénéficient d’une amnistie temporaire : c’est préoccupant pour l’avenir et DJT vient d’expliquer qu’il faudrait un retournement de politique avant 2022 !
Les grand mythes sont dans le viseur : Gates et Fauci par exemple. Hunter Biden a une nouvelle histoire qui sort. Tout cela est très bon.
Meltoisan
Pourquoi s’embêter puisque le 100 mètres sera gagné par un félin, le saut en hauteur relatif par … la puce et l’art du déguisement par … la particule quantique ?
Les trans… ceci ou cela peuvent aller se rhabiller, si j’ose dire…
Meltoisan
Jipeo
Ce qui est absolument effrayant c’est qu’à l’instar du communisme, ces gens-là ne se contentent pas d’imposer leurs délires. Ils veulent, il le faut, se convertir et adhérer sincèrement à leur idéologie, comme dans les camps de rééducation où l’objectif est que les gens soient contents d’être internés. Et ça marche ! Comme dans le cas de cette cycliste américaine qui s’est fait voler sa médaille il y a trois ans par un OGM (ou plutôt OHM pour hormonalement modifié…) et qui après s’être légitimement insurgée à été obligée de faire amende honorable et profession de foi de “friendly”.
F. JACQUEL
On a connu l’époque où les nageuses de RDA raflaient routes les médailles olympiques. Elles étaient perfusées à la testostérone et avaient des carrures de forts des halles. Récemment un reportage leur a été consacré (à celles qui ont survécu), révélant leur vie transformée en calvaire.
Je pense que ces “championnes masculines” vont payer une facture très élevée dans les années à venir.
Quand on triche avec la nature, les retours de bâton sont généralement foudroyants.
Faliocha
Vous avez parfaitement raison, mais en attendant des jeunes filles se font voler leur avenir- y compris universitaire-
Janot
On vit une époque de cinglés. Moi, si j’étais une femme, je refuserais tout simplement de participer à uner compétition qui admettrait ce genre de monstres “trans” …
nicole2
Il faut créer une 3e catégorie de compétition : “trans” pour ces individus.
Bien séparée des compétitions “hommes” et “femmes”..
Faliocha
Et les trans dans l’autre sens se feront rétamer ! Des hommes ex-femmes battus par des femmes ex-hommes. Est-ce que tout le monde suit?
DUPORT
A se demander si ce ne sont pas les musulmans qui ont la solution…
Montalte
Une solution: que toutes les athlètes féminines boycottent en bloc les épreuves des JO où des transgenre concourent.
philippe paternot
chronique des cinglés dans le sport mais pas que, dans la vie de tous les jours!
faire confiance en la “justice” n’est qu’illusion, aller voter pour virer les bobos du pouvoir est plus efficace