Samedi 25 juin après-midi, évitez absolument la ville de Paris et plus précisément le trajet Montparnasse – Place de la Bastille, où défilera le triste cortège morbide des homosexuels. Au pire, si vous habitez ces quartiers ou si vous y faîtes les soldes, réfugiez-vous dans une église afin de confier ces pauvres hères à la Sainte Vierge.
Alors qu’elle s’inscrit dans la sphère de l’intimité, l’homosexualité est aujourd’hui portée comme une revendication (cette année, c’est le droit à l’adoption ! – alors que certains de ces désaxés sont ouvertement pédophiles !) collective par des mouvements (souvent de gauche – le rose virant au rouge vif, voire rouge sang…) qui la brandissent comme un étendard. On assiste à l’émergence d’une idéologie homosexuelle dans la mesure où met en place un système de représentation du monde qui s’appuie sur un noyau d’activistes, des intérêts puissants et l’indifférence molle de la société française devant la propagande gay. Les khmers roses qui diffusent cette idéologie homosexuelle se sont lancés à l’assaut des derniers vestiges de l’universalisme républicain. Leur entreprise de rééducation des esprits s’appuie sur un discours victimaire visant à culpabiliser la société française. Cette stratégie n’hésite pas à manipuler les faits historiques et stigmatise quiconque procède à un examen critique, faisant de l’homosexualité un débat interdit.
Au cours des dernières années, l’idéologie homosexuelle imprègne les discours et les programmes de partis politiques, de gauche comme de droite, ce qui rend inéluctable la mise en œuvre de ses principes. Le paradis communautaire dont rêvent les khmers roses pourrait vite tourner au cauchemar en enfermant les homosexuels dans un univers virtuel, étouffant et morbide, camouflé par l’omniprésence du sexe et l’exaltation permanente de la fête.