Le vendredi de l'attentat, Renato a garé son Opel Corsa blanche près de l’aire des Aigles de la cité de Carcassonne. Jean Mazières, un viticulteur à la retraite de 61 ans, l’accompagnait. Vers 10 heures, le terroriste a ouvert le feu sur les deux hommes. Le retraité meurt. Touché à la tête, Renato n’a jamais perdu conscience.
Le 29 mars, le Salon beige relayait la prière de sa mère, portugaise et catholique.
Le 26 avril, 20 Minutes parle de lui comme étant un "miraculé".
« Estou de volta gente », autrement dit, « je suis de retour ». Voilà le dernier message que Renato Silva, le jeune homme blessé d’une balle dans la tête à Carcassonne, le 23 mars, lors des attentats dans l'Aude. Après plus d’un mois d’hospitalisation, miraculé de 26 ans, sorti du coma le 2 avril, doit rentrer chez lui aujourd’hui. Son père indique :
« Il est miraculé, oui, on peut le dire comme ça. Il avait sans doute le bon Dieu de son côté. »
« Il reste une paralysie faciale, et il est encore sourd d’une oreille, et il ne peut pas encore marcher tout seul ».
PapounetBGT
Alleluia!
DUPORT
Nous avons dit le rosaire à son intention…