Libération d’aujourd’hui nous plonge dans le quotidien d’une une cellule de médecins qui "étudie au cas par cas les problèmes foetaux ou maternels pouvant justifier une interruption médicale de grossesse (IMG)." Et face à ce tribunal, les prévenus risquent la peine de mort.
L’enjeu est de taille : dans tous les cas, c’est la question d’une interruption de grossesse pour un problème foetal ou, plus rarement, maternel, qui est posée. Et si cet avortement n’est jamais pratiqué sans l’accord des parents [!], l’avis de l’équipe médicale est déterminant.
Anomalies chromosomiques (notamment trisomie 21), graves malformations du système nerveux ; retards de croissance… Les présentations s’enchaînent. Parfois le cas est réglé en moins d’une minute.
L’article parle de la condamnation d’enfants de différents âges : pour mémoire, ici une photo à 24 semaines, ici à 32 semaines.
Papon
Nous sommes tous des foetus non avortes